« Ca fait peur les n‘Orages XD. » [Pv.]

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« Ca fait peur les n‘Orages XD. »

Pv Suzuki-sempaï.

Le visage caché dans l'oreiller et la couverture couvrant l'entièreté de mon corps, le tonnerre grondait à l'extérieur, me laissant tremblant et incapable de dormir. Mes yeux s'écarquillaient à chaque éclair et mon coeur tambourinait dans ma poitrine. Mes membres félins étaient de sortie, la queue coincée entre mes jambes et mes oreilles plaquées contre mon crâne. Mon corps entier tremblotait, comme si j'avais froid. Je sortis bientôt subitement de mon lit, enfilant un long et trop grand t-shirt sombre, me glissant silencieusement hors de la chambre. J'étais incapable de dormir, surtout avec cet orage. La porte claqua doucement derrière moi, un éclair frappa le sol, me tétanisant le temps qu'il disparaisse. Et ses grondements incessants qui reprennaient, faisant perdre son calme battement à mon coeur affolé. Je collait rapidement mon dos au mur devant moi, m'y laissant glisser pour me retrouver assis au sol, recrovillé sur moi-même, les mains coinçant mes oreilles de chat contre mon crâne. J'étais au bord des larmes et le moindre bruit me faisant relever la tête sauf les grondements. J'enfonçai, à chaque déchirement, mon visage entre mes jambes et mon torse. Si je pouvais, je me serrais caché dans un trou de souris, à l'abri de ce bruit qui me hante. Je suis comme un enfant, je n'aime ni le noir, ni les orages. Je suis mi-chat mais je préfère la lumière, plus de monde vit le jour et ils sont beaucoup moins dangereux que les gens du soir. Un frisson d'effroi me parcourut l'échine tandis qu'une larme s'échappa de mes paupières serrées l'une contre l'autre. Elle roula lentement sur ma joue, s'écrasant contre ma jambe dénudée. Vêtu seulement de mon t-shirt sombre et de mon sous-vêtement, je n'avais pas vraiment chaud et je ne voyais pas l'utilité d'être dans le couloir plutôt que dans mon lit. Mais je ne voulais pas réveiller mes colocataires, après tout, j'arrivais toujours à m'attirer les foudres des gens, autant repousser ce moment. Mes yeux s'entrouvèrent bientôt, à l'instant ou un nouvel éclair zèbra le ciel, les refermant aussi vite qu'ils ne s'étaient ouverts. Je mordillai bientôt nerveusement ma lèvre inférieur, relevant courageusement tête et yeux vers le couloir. Je me demande qui ne peut pas dormir, comme moi ... je fixais bientôt la porte de la deuxième chambre. Suzuki-sempaï dormait-il ? Je suppose, je ne vois pas pourquoi il ne dormait pas. Je doute qu'il ait peur d'un simple orage ... Je retins de peu un gémissement affolé lorsque le tonnerre brisa de nouveau le silence. Ce bruit devenait de plus en plus fort et fréquent, je meurs de peur ...

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Je déteste cela ! Vraiment il n’y a rien de plus agaçant que de ne pas réussir à dormir. Il est vrai que cela est de ma faute si je ne dormais pas en cours, j’arriverais à dormir à présent. Un soupire s’échappa d’entre mes lèvres alors que je me levais de mon lit pour aller vers ma fenêtre, je tirais bien vite les rideaux ouvrant la fenêtre pour pousser par la suite le volet. Un sourire se dessina sur mes lèvres en voyant l’orage. Eh bien ! Il s’énerve là haut… J’ai toujours adoré énervé certaines personnes pour faire en sorte qu’un orage éclate. C’est toujours magnifique mais, le mieux c’est quand on est au dessus. Ici, même si on entend mieux il vaut mieux voir les formes, la danse des éclairs d’en haut. Je soupirais, le ciel et les nuages me manquent pour tout avouer. Un grognement me fit me retourner, celui-ci ne venait pas de l’orage mais plus d’un jeune homme dans mon lit. Mon regard se posa sur le lit alors que celui-ci se leva en frottant ses yeux. Il ne semblait pas trop apprécier le fait que j’ai pus le réveiller. Mais bon il fallait bien quand même qu’il parte de ma chambre maintenant, surtout que dans un lit une place ce n’est pas facile de dormir à deux. Il s’agissait d’un jeune homme en terminal qui me tournait souvent autour depuis mon entré en seconde. Et au soir, oui, j’avais finis par me laisser faire, pour son plus grand plaisir. Il s’approcha de moi pour m’embrasser dans le cou, je me laissais faire n’ayant même pas la force de le repousser. Je grognai alors que je lui disais de s’habiller et partir. Le terminal me traita de mec froid et sans cœur et il stipula aussi que j’aimais simplement que l’entre jambe des mecs… Boh ! Il n’avait pas totalement faux. Il s’approcha de ma porte alors que je lui suivais gentiment habillé de mon boxer blanc. Il me fixa un instant surement dans l’espoir que je lui dise de revenir me voir mais bon il pouvait toujours attendre vu que je lui lançais simplement un regard froid et vide d’expression. Un sourire se dessina sur ses lèvres alors qu’il se mit à marcher dans le couloir.

« Eh ! Kiyoshi, t’as déjà un autre client qui t’attend… Eh ben. »

« La ferme ! »

J’aurais voulus le tuer sur place mais non j’allais jouer avec ses sentiments, mais demain… Mon regard se posa sur le jeune homme dans le couloir il était dans un coin d’ombre impossible pour moi de bien le voir. Je m’approchais doucement remarquant qu’il s’agissait alors de Kiryûu. Que faisait-il ici ? Il semblait même très paniqué.

« Eh ! Minou ca va ? »

Apparemment pas vraiment vu que ses attribut félins étaient de sortit… Un sourire attendrit pris place sur mes lèvres alors que je levais la main vers lui pour lui caresser les cheveux frôlant un peu ses oreilles. Pauvre petit, avait-il peur des orages ? A cette idée mon sourire s’étendit sur mes lèvres alors que je mordais doucement l’inférieure.

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Une porte s'ouvrit, me faisant sursauter presque jusqu'au plafond. Je levai vivement la tête, pensant tout de même à garder les oreilles plaquées. J'haussai un instant un sourcil, me demandant qui pouvait bien être le jeune homme qui venait de sortir. Un éclair me fit détourner la tête, l'enfonçant vivement entre mes jambes et mon buste. Je déteste les orages ! Un nouveau frisson se marqua sur ma peau, des pas résonnaient dans le couloir. Mes tremblements n'avaient pas cessés, malheureusement. De quoi client ? J'ai rien compris que ce que venait de dire l'inconnu. Quel client ? Moi ? Non, je squatte le couloir. Minou ? On me parle ? Je redressai lentement la tête, levant les yeux le long de cette silhouette qui me semblait familière. Serait-ce ... ? Suzuki-sempaï s'était stoppé devant moi, passant sa main dans mes cheveux. Sa présence me rassurait, c'était vraiment étrange. Mes oreilles frappèrent nerveusement mon crâne lorsque sa peau les frôla. Je relevai lentement la tête, me relevant en tremblant à l'aide du mur. On était presque tout deux dans la même tenue, durant ma montée, je ne pus m'empêcher de détailler son corps, évitant soigneusement son boxer blanc. Une fois debout, je m'approchai d'un pas du jeune homme, déposant mes mains contre son torse déposant ma tempe au niveau de sa clavicule. Tout mon corps tremblait, en plus, je commençais à avoir froid, assis au sol.

- J'aime pas l'orage.

Murmurais-je doucement, mon souffle cognant contre la peau de son cou. Un faible gémissement me parvint, mes paupières tombant lentement sur mes yeux. J'étais fatigué de ne pas pouvoir dormir à cause de cet orage. Maintenant un peu plus rassuré grâce à Suzuki-sempaï, je sentais la fatigue me peser. Je relevai lentement les oreilles, passant ma main dans mes cheveux pour les dégager de mes yeux. Bon, j'étais un peu pot-de-colle mais j'y suis pour rien, j'ai peur ! Le grondement fit tapper mon coeur contre ma poitrine tandis que je relevai la tête, légèrement paniqué, pour fixer l'extérieur, le ciel noir dépourvu d'étoile. J'étais presque tétanisé, paralysé à cause de cet orage ... Et pourtant, ce que j'aimerais dormir ...

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Je regardais Minou sans rien dire attendant juste qu’il réagisse. Il allait être malade a force de rester ainsi assis au sol. Un sourire s’afficha sur mes lèvres tandis que penchais ma tête sur le côté tout en me redressant en voyant le jeune home en faire autant. Mes mains se placèrent dans son dos alors qu’il se colla contre moi. J’étais bien là. Je crois que je serais capable de dormir debout… J’étais déjà fatigué a cause de l’autre qui venait de quitter ma chambre mais aussi parce que j’aimais beaucoup l’odeur du jeune homme.

« Tant fais pas, cela ne va rien te faire. »

Ben oui, je sais qu’il arrive des accidents mais généralement les personnes touchés c’était parce que cela était volontaire. Je remontais doucement ma main jusqu’à la nuque du jeune homme alors qu’un sourire s’étala doucement sur mes lèvres. Apparemment il avait l’air plus calme mais aussi d’avoir froid. Enfin… Je veux bien le réchauffer sans problème moi. Je baissais mon visage venant alors humer son odeur mon visage étant proche du sien. Mon regard chercha le sien alors qu’un sourire de nouveau fit son apparition. Vraiment mignon ce petit. Je soupirais alors que je finis par me tournais quelque peu. On pouvait quand même ne pas rester ainsi dans le couloir. Je passais doucement ma main dans ses cheveux pour le regarder de nouveau.

« Eh ! Tu viens dans ma chambre, tu va ne pas rester ici. Tu va tomber malade à force. Il y a que mon lit qui est pris donc tu peux utiliser un autre… Ah moins que tu ne retourne dans ta chambre. »

Ma main glissait toujours dans ses cheveux alors que se rapprocha de l’une de ses oreilles. J’y pouvais rien je trouvais cela tellement mignon. Mais il allait surement m’en vouloir d’y toucher non… Mais je ne pouvais n’empêcher, je trouvais cela assez hot, aussi pour tout avouer, ca me plait bien ses attribut félins… Vraiment.

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Je me blottis doucement dans ses bras, frissonant tandis que ses mains parcouraient mon corps toujours tremblant. Mes yeux se fermèrent lentement tandis qu'il m'affirma qu'il ne m'arriverait rien. Pourquoi souriait-il ? C'est moi qui l'amusait ? Je trouvais pas cela drôle d'avoir peur de l'orage. Je passai à nouveau ma main dans mes cheveux, le suivant du regard tandis qu'il s'éloigna un peu. Aller dans sa chambre ? Heum ... cela mérite méditation. J'attrapai lentement sa main, le laissant me guider jusqu'à sa chambre.

- J-J'arrive pas à dormir, de toute façon ...

J'ai l'impression qu'il aime vraiment mes oreilles. Enfin, je pense que c'est la seule chose qu'il doit aimer chez moi ... je passai ma main dans mes cheveux, soupirant bientôt longuement tandis qu'on entra dans sa chambre. Quelle chance, il était, pour l'instant, toujours seul. Lequel était son lit ? Pour ne pas que je m'y installe. Je ne voudrais pas squatter son lit, et puis, je n'aimerais pas qu'il pense ... enfin, voilà. Je soupirai longuement, je suppose que c'est le lit défait. Gros débile ! Je défis ma main de la sienne, me dirigeant vers l'un des lits pour m'y assoir, posant ensuite les yeux sur le jeune homme.

- Je ne dérange pas j'espère ...

Dis-je juste pour briser le silence. Je souris faiblement, le grondement me fit encore baisser les oreilles.

- Je peux dormir avec toi ? J'ai vraiment peur de l'orage ...

Ajoutais-je ensuite, me relevant du lit pour baisser les yeux au sol, les joues rosies. Bon, ok, c'était peut-être mal demandé ou, s'il avait un esprit vraiment mal tourné, il pourrait peut-être le prendre comme des avances. Mal à l'aise à cette idée, je tournai la tête à l'opposé de Suzuki-sempaï, torturant nerveusement mes doigts jusqu'à les entendre craquer.

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Une fois dans la chambre je fermé doucement la porte pour allumer la lumière et me diriger vers la fenêtre toujours ouverte, il faisait froid ici à présent. De plus l’orage semblait ne pas vouloir se calmer. Je fermais mes volets laissant tout de même la fenêtre ouverte, j’avais bien trop chaud désolée pour Kiryûu mais s’il avait froid il avait qu’a s’enrouler dans la couette. Mon regard se reposa sur lui alors que je restais un moment près de la fenêtre. Je lui adressais un sourire alors qu’il me demanda s’il ne gênait pas.

« Je t’aurais pas demandé si tu voulais venir si c’était le cas. »

En entendant l’orage gronder j’eux le reflexe de regarder le volet, espérant voir alors un éclair danser non loin. Mais bien vite mon regard se posa sur Kiryûu qui me demanda s’il pouvait dormir avec moi. Un sourire apparut sur mes lèvres alors que j’avançais vers lui. Il n’avait donc pas peur que je profite de lui ? Après tout il n’avait peut-être pas vu le garçon sortir de ma chambre… Du moins entendus, mais cela n’a pas du le frapper de voir un seul lit défait… Boh ! Peut-être qu’il avait compris mais qu’il ne voulait pas en parler de peur de me gêner. Ou de se gêner. Je m’arrêtais devant lui pour alors caresser doucement l’une de ses oreilles, oh que oui alors ! J’adore vraiment ses attributs félins. Ma main glissa par la suite dans ses cheveux alors que l’autre remontait doucement son visage vers le mien.

« Ok. Mais, on va prendre ce lit là. »

Ben oui … L‘autre avait était bien utilisé on va dire… Je laissais glissais ma main dans ses cheveux le long de sa joues et de son cou pour ensuite finir se poser sur son côté. Mon regard se posa alors sur la queue féline. Vraiment mignon.

« Dit… Logiquement tu gardes toujours tes membres félins ? »

Je relevais els yeux vers lui pour lui sourire alors que je m’avançais vers mon lit pour prendre l’oreiller qui avait tombé. On ne sait pourquoi d’abord… Je revins vers lui pour alors m’asseoir sur le lit tout en tirant Kiryûu pour qu’il s’asseye sur mes jambes. Non, j’allais rien lui faire mais, s’il avait peur de l’orage autant qu’il profite de bras protecteur non ? Mes bras passèrent doucement autour du corps frêle du chat pour le regarder avec une certaine assistance. Non pas du sens je te veux mais plus pour savoir s’il se sentait pas trop gênait.

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Je gigotai nerveusement, suivant le trajet de ses mains du coin des yeux. Mes joues rougirent un peu plus lorsqu'il releva mon visage vers le sien. Bon, j'étais encore un gosse, je n'y peux vraiment rien. Je frissonais tandis que sa main dévala ma joue, mon cou et se stoppa sur mon côté. Ce lit là ? Pour' ... Non, c'est bon, j'ai compris. Je laissai mes paupières lentement tomber, un faible sourire aux lèvres tandis qu'il me demanda si je gardais tout le temps mes membres félins. Je me retrouvai bientôt assis sur les jambes de Suzuki-sempaï. Mes joues se peignèrent de rouge, ses bras se logèrent autour de moi. Pourquoi me regardait-il ainsi ? Je détournai lentement les yeux, cognant mes gneoux contre le bord du lit. Je n'appréciais pas tellement avoir les jambes écartées. J'accrochai lentement mes bras autour de son cou, gardant le visage baissé.

- J-Je ... oui, ils sont constament là ...

Je battai ma queue contre ses jambes, doucement, battant nerveusement des oreilles d'avant en arrière. Je déposai mes lèvres contre sa joue, déposant ma tempe contre son épaule. Mes paupières tombèrent entièrement, un soupire m'échappa, courant sur la peau de Suzuki-sempaï.

- Je suis fatigué ...

Murmurais-je doucement. L'une de mes mains glissa dans son cou puis sur son torse, mes doigts s'accrochant à son haut. Mon autre main, quant à elle, joua doucement avec les cheveux du jeune homme. Le tonnerre gronda à nouveau, me faisant baisser les oreilles contre mon crâne. Je relevai bientôt la tête, plantant mon regard dans celui du jeune homme. Le rouge me revint aussitôt aux joues, j'avais eu, pendant un instant, de tenir une peluche dans mes bras, en un peu plus dur. Je serrai subitement mes jambes contre celles de Suzuki-sempaï, je n'avais pas été éduquer à écarter les jambes, c'était presque un réflexe de les fermer. Je baissai lentement les yeux, les déposant sur le bas-ventre du jeune homme sans vraiment m'en rendre compte.

- Pardon ...

Je m'excusais pour quoi ? Peut-être pour avoir serrer mes jambes ou parce que je ne peux me conduire autrement que comme un enfant. Je peux paraître également comme un fardeau, peut-être est-ce la raison pour laquelle je me suis excusé. Je relevai vivement les yeux, me rendant enfin compte de ou mes yeux s'étaient posés. Je fixais bientôt ses yeux, mon regard tombant parfois sur ses lèvres. Depuis que j'étais sortis de l'hôpital, je me suis toujours demandé ce que cela pouvait faire d'embrasser quelqu'un ... mais je suis patient et j'attendrais sagement ce jour, après tout, je ne suis vraiment pas curieux de savoir ce que ça fait de coucher avec quelqu'un. Rien que d'en parler, cela me met mal à l'aise ... Ou plutôt y penser, je rougis tout seul. Je libérai l'une de mes mains, la passant dans mes cheveux pour les dégager sur l'une de mes épaules pour ensuite la laisser retomber entre nos deux ventres. Oups ? Pas encore, je ne l'avais pas remarqué ... Mes membres félins étaient à présent disparus, pour le moment.

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Si seulement on pouvait laisser les élèves se balader avec leur vraie apparence physique… Cela me plairait bien, surtout pour voir Kiryûu avec ses membres félins. Il faut dire que cela lui donne un petit côté sauvage pas détestable au contraire. J’adorais tout simplement, je crois que j’aurais voulu avec plaisir faire partit de son espèce. Ca doit être vraiment … Agréable de voir autant de nekos autour de soi. Les battements de sa queue contre mes jambes me firent sortir de mes pensées et je le regardais de nouveau sans rien dire, souriant simplement au jeune homme. Il était fatigué ? Hum… Je devrais m’allongeais pour le laisser en faire autant. De toute façon que je suis assis ou allongé je ne dormirais surement pas de suite donc cela ne change rien pour moi. Mes doigts attrapèrent doucement l’une de ses mèches de cheveux alors qu’il se collait contre moi. J’étais bien avec lui, nettement mieux que lorsqu’il s’agit d’un autre. Avec lui j’ai simplement l’impression qu’il ne pense pas juste au faite de me mettre dans son lit comme je le ressens avec les autres mecs qui peuvent me coller. Dors… Endors toi sur moi Kiryûu, je prendrais soin de toi durant ton sommeil, je veillerais à ce que les éclairs n’arrivent plus à tes oreilles et qu’aucun cauchemar ne vint briser ta nuit. Je lâchais doucement sa mèche de cheveux alors que je le sentis serrer les jambes. Mon regard se posa automatique sur son entre jambe, je ne sais pas… Généralement pour moi ca voulait dire qu’on voulait cacher quelque chose… Je relevais bien vite les yeux vers son visage alors que je souriais attendris en l’entendant me demander pardon. Quel idée de me demander pardon alors qu’l n’avait rien fait de bizarre. Enfin je ne pense pas. Peut-être loucher sur mes lèvres de temps en temps, mais ca à la rigueur je veux bien lui pardonner, ce n’était pas dramatique.

« Arrête d’être aussi Mignon. »

Je collais mon front contre le sien alors que je venais rapprocher mes lèvres des siennes, maintenant il avait plus qu’ les toucher s’il le souhaitait. Mais je ne bougerais pas moi. A lui de voir s’il en a envie ou pas. Je me laissais bientôt tomber doucement en arrière entrainant dans ma chute le jeune homme, que je tenais toujours avec délicatesse. Mes lèvres restaient proche des siennes tandis qu’un léger sourire aborder mes lèvres. Mon regard n’arrêtait pas de chercher le sien sans que je ne puisse expliquer pourquoi. Il était beau simplement. Et même sans ses membres félins. L’une de mes mains glissa doucement dans ses cheveux alors que lentement se faufila sous son haut l’envie de le toucher était finalement arrivé. Je ne me pense pas qu’attaque de faire quoique ce soit mais j’avais juste envie de le toucher, de l’embrasser, de le câliner… Pourquoi ? Je l’ignore mais généralement j’ai du mal à aller contre mes envies.

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Arrêter d'être si mignon ? Comment on fait ? Je laissai tomber mes paupières, rouvrant vivement les yeux lorsqu'il colla son front au mien. Mon regard se posa directement sur ses lèvres qui, à mon avis, était beaucoup trop proche des miennes. Je me sentis partir vers l'avant, accompagnant la descente de Suzuki-sempaï. Pourquoi gardait-il ses lèvres si proches ? Je relevai enfin les yeux pour planter mon regard dans le sien. Mes joues rosissaient à vue d'oeil, j'avais de plus en plus chaud. Etait-ce de sa faute ? Peut-être était-ce simplement moi ... Je fermai les yeux lorsque sa main passa dans mes cheveux. C'était un geste que j'adorais, cela me rassurait, me mettait en confiance. Enfin, cela dépendait de la personne ou même de la situation. Je fermai vivement les yeux lorsque son autre main se glissa sous mon haut. Que fait-il ? Mes joues se peignèrent de rouge, un frisson me parcoura tout le corps. Mon pouls avait fortement accéléré et cela pouvait facilement se sentir. L'une de mes mains se faufila à la recherche de celle de Suzuki-sempaï, accrochant doucement mes doigts fins à sa main. J'entrouvrai péniblement les yeux, collant maladroitement mon front à celui du jeune homme. Je n'avais pas le courage de dire quoique ce soit. Je plantai lentement mon regard dans le sien, soupirant pour tenter d'avoir moins chaud. Une étrange sensation me parcourait tout entier ...

-Q-Que ... J'ai chaud ...

Murmurais-je doucement, fermant les yeux pour éviter son regard. C'était quoi cette étrange sentiment ... ? Et pour en rajouter une couche, je ne sais pourquoi, je déposai mes lèvres contre les siennes. Je n'ai jamais embrassé personne, qu'il me pardonne si ce n'est pas agréable ... je redressai brusquement la tête, déscellant nos lèvres. Je me redressai bientôt, surplombant le corps allongé de Suzuki-sempaï du mien. Le dos de ma main vint se poser contre mes lèvres, l'autre appuyée sur son torse.

- J-Je ... désolé ...

Bredouillais-je péniblement, détournant la tête de côter pour fixer les draps. Qu'est-ce qu'il me prend ... ? Je suis pourtant conscient que cela me met mal à l'aise ... J'avais toujours aussi chaud, mon bas-ventre brûlait et je déposai doucement ma main sous mon nombril, rougissant toujours autant. Le coeur battant toujours aussi fort, ma main retomba contre le torse du jeune homme, l'autre toujours posée sous mon nombril. Un faible gémissement plaintif parvint de ma gorge, je tournai les yeux vers ceux de Suzuki-sempaï, horriblement mal à l'aise.

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Ma main sous son haut ne pouvait s’empêcher de découvrir un peu plus sa peau, son corps. L’envie de découvrir son corps qui me restait encore inconnus. Mais bien vite, je fus stoppais dans ma découverte alors que ses doigts se posèrent sur ma main. Han ! Moi qui voulais jouer un peu avec son corps. Je soupirais doucement ne bougeant plus ma main malgré l’envie qui me démanger de pouvoir le toucher un peu plus encore. Il a chaud ? Oh … Pourtant la fenêtre est ouverte, je ne vois pas comment l’aider plus… Quoique, peut-être que la raison de sa chaleur vient peut-être de son corps, qu’il ait chaud à cause de moi par exemple… On ne sait jamais après tout. Je levais les yeux vers la fenêtre vérifiant qu’elle était toujours bien ouverte. Elle y était bien, je ne pouvais pas faire grand-chose à présent… Je sursautais surpris en sentant ses lèvres contre les miennes alors que mon regard se reposa sur lui. Je n’eu pas spécialement eu le temps de profiter de ce contact malheureusement. Il faut qu’il arrête je lui ai dit pourtant non ? Il me semble avoir été plutôt clair non ? Il devait arrêter de se montrer aussi mignon. Je restais sans bougeais laissant mon crane s’engloutir peu à peu dans mon oreiller. Ouah … C’est la première fois qu’on s’excuse de m’embrasser… C’est vraiment bizarre, il est spéciale tout de même ce garçon. Je clignais plusieurs fois des yeux le laissant faire sans vraiment être sur terre, je dois avouer que j’étais perdu, totalement perdu. Mais très vite son gémissement me fit relever les yeux. Ah non ! Non Kiryûu si tu veux jouer à ca va le faire ailleurs que sur moi. Je me redressais poussant légèrement le jeune homme pour qu’il se pousse de sur moi. Je me mis alors à genoux sur le lit baissant les yeux vers son entre jambe. Il … Enfin est-ce qu’il allait… Roh ! Pourquoi diable suis-je pour une fois assez intimidé.

« Heum… Je crois qu’il vaut mieux qu’on reste écartés l’un de l’autre pendant quelques instants hein… »

Oui, je n’avais pas trouvé autre chose, il faut dire que d’habitude je profite de l’occasion pour finir au lit avec la personne. Mais, franchement là je me pense pas capable d’avoir de nouveau une érection avant demain soir, l’autre m’avait totalement épuisé et dans tous les sens du terme possible. Aussi bien physiquement que mentalement. Je levais les yeux vers le jeune homme me sentant tout de même gênais, mais aussi très flatté. Ben oui… Je lui fais de l’effet… Je me mis bien vite à rire de cette situation bien plus que gênante. C’est horrible la tension. Je relevais bien vite ma main caressant alors doucement le visage du jeune homme. C’est fou ce qu’il avait l’air pur. Cela se trouve il était encore vierge. Hum … Je n’aurais pas du penser à cela, généralement ce petit mot à tendance à m’exciter… Je sais c’est débile mais voilà, surtout si vous imaginez son visage rouge écarlate comme il la d’habitude, ses membres félins sortit et enfin nu… Oh ! Pourquoi est-ce que chez moi plus bas ca ne fonctionne pas, réveille toi ! Roh ! Logiquement, trente minutes plus tard on est d’attaque et de nouveau en service. Alors pourquoi pas moi. Peut-être que les pensées seules n’arrivent pas à me donner totalement envie de lui.

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Mon coeur tambourinait douloureusement dans ma poitrine tandis qu'il me poussa bientôt. Hein ? Qu'est-ce que j'ai fait ? C'était pas bien, c'est ça ? Et puis, avait-il une raison particulière pour regarder entre mes jambes ? Je serrai mes genoux l'un contre l'autre, détournant lentement la tête pour fixer les draps. Je lui ai pas fait mal au moins ? Quel maladroit je fais, maintenant, je peux même plus me lover contre lui ... Je sursautai légèrement lorsque sa main s'approcha de mon visage. Je déposai ma main sur la sienne, frottant doucement ma joue contre celle-ci. Pourquoi me regardait-il ainsi ? A quoi pouvait-il bien penser pour sembler si bêtement heureux ... ? Je déposai lentement ma main contre les draps, me penchant vers Suzuki-sempaï pour rapprocher mon visage du sien. Mon autre main se posa entre ses jambes, mon regard porté au sien. Le regard interrogateur, je fixais bientôt ses lèvres. J'avais encore envie ... même si j'hésitais grandement à y poser les miennes. En plus, j'étais vraiment peu doué ... c'est le premier que je viens à embrasser. Je collai de nouveau mes lèvres aux siennes, déposant ma main libre contre son torse, mes paupières tombant rapidement sur mes yeux. Mes joues brûlèrent de nouveau, peignées de rouge. Ces sensations parcouraient mes veines, étranges et pourtant loin d'être désagréables. Il décolla bientôt ses lèvres des siennes, m'approchant lentement du jeune homme. Mais, maladroit comme j'étais, je glissai sa jambe entre les miennes, frottant malheureusement mon entre-jambe contre celle-ci. Un faible gémissement me parvint, mes yeux se fermèrent alors vivement. Eh ! Pourquoi il se dresse celui-là ? Je posai vivement ma main sur ma bouche, fixant cette étrange bosse dans mes vêtements. De mon autre main, j'attrapai le haut de Suzuki-sempaï, mon autre main retombant sur le draps. Je tirai faiblement sur le tissu, tel un gamin réclamant un bonbon à sa mère.

- P-Pourquoi j'ai une bosse ... ?

Murmurais-je, plantant un regard remplit d'incompréhension dans le sien. Je cachai ensuite mon visage sous mes cheveux. J'étais gêné, je ne savais pas ce qu'il m'arrivait et cela me rendait nerveux. Qu'es-ce que je dois faire ?

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Je fixais le jeune homme qui frottas bien vite sa joue contre ma main alors que la sienne se posa sur le mienne. Hum… Il a l’air bien câlin d’un seul coup tout de même. Soit sage gentil minou, sinon Papa Kiysohi ne va pas résister à la tentation… Mais voilà qu’il se penche vers moi pour fixé mes lèvres dont il prit la possession bien vite. Je reste quelque instant immobile avant de répondre à son baiser. Mais il rompit le baiser de nouveau encore bien trop vite a mon gout je fixais le jeune homme droit dans les yeux. Alors qu’un léger sourire s’accrocha sur mes lèvres alors qu’il s’approchait de nouveau de moi. A croire qu’il est déjà en manque de moi… Mon regard descendit rapidement en sentant quelque chose contre mon genou et un frisson me dévala le dos en entendant son gémissement. Oh … Ca c’est carrément un appel au viole moi je vous le dit. Mon cœur se mit à battre plus rapidement alors que mon envie remontait en moi, d’un sens j’arrive jamais à retenir cette dernière, elle me joue souvent des mauvais tours. Mon Dieu, ce qu’il est bandant, ah si je vous jure ! C’est peut-être lui qui l’érection mais le voir agir ca vous donne envie de faire de même. Sa question me surpris assez et en même confirmé mon idée qu’il était encore vierge. Il n’avait donc encore jamais découvert son corps, même tout seul ? Bon j’allais l’aider. Mon regard fixa le sien alors qu’il semblait totalement perdu. Mon sourire sur mes lèvres s’agrandit tandis que l’une de mes mains alla caresser sa joue qui était quelque peu caché par ses cheveux. Cher Kiryûu laisse moi te faire du bien. Mais comment lui dire cela. Je rapprochais doucement mon visage du sien, embrassant alors la moindre petite parcelle de sa peau qui pouvait me tomber sous les lèvres. Son nez, ses yeux, ses joues, son front et sans oublier ses lèvres si attirantes.

« Surement parce que tu es excité… Laisse moi faire je vais t’aider… »

Je descendais mes lèvres dans son cou que j’embrassais avant de mordiller avec envie. Il avait réussit à réveiller en moi mon autre partie. Tant pis à présent. Ma main sur sa joue resta à sa place caressant celle-ci pour le rassurer alors que mon autre main libre se rapprocha de la cuisse du jeune homme, remontant celle-ci vers l’intérieur. Pour atteindre le plus lentement possible son érection. Je dois avouer que tout cela m’excitait et me rendait assez nerveux. Pas du sens où je pers mes moyens mais plus dans le sens où j’ai du mal à me contenir. Ma main atteignit bientôt la bosse du jeune homme alors que mon index glissa doucement sur son membre durcit. Je veux le voir, le toucher vraiment. Mais en même temps je dois éviter d’aller trop vite. J’aurais préféré entre dans son dos, il aurait pu se caller ainsi contre moi, mais être en face me permettais d’un sens de voir son visage et d’envisager plusieurs choses. Mon visage était toujours restait près du sien bien que je fixais avec attention son membre. Mes lèvres se posèrent de nouveau dans son cou alors que j’humais son odeur a grande bouffé. Mon index remonta en haut de son sous-vêtement qui était caché par son haut qui me gênais beaucoup je dois l’avouer. Mais, je ne voulais pas lui enlever, oui, je sais je suis bizarre mais j’ai des petits fantasmes en même temps qui remonte à la surface. Vous comprenez avec le nombre de personne passés dans mon lit… En arrivant près de son boxer mes lèvres remontèrent vers les siennes pour que je les capture, je l’embrassais avec une certaine tendresse je ne voulais surtout pas qu’il panique ou autre alors autant faire attention. Ma main sur sa joue continue de la caresser bien que parfois elle jouait avec ses cheveux. Je passais bientôt le bout de mes doigts dans son boxer dans l’espoir de rencontrer bien vite ce que je cherchais avec envie.

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Je relevai lentement la tête, sa main se posant de nouveau sur ma joue. Mes yeux se fermèrent lentement, ses lèvres m'arrachaient des frissons, partout ou elles se posaient. Savait-il comment enlever cette érange bosse ? Ses paroles me firent relever les yeux vers les siens.

- E-Exci ... té ... ?

Peu importe ce que cela pouvait signifier, il semblerait que Suzuki-sempaï sache le faire partir. Je penchai la tête de côté, lui laissant place pour embrasser mon cou. Que faisait-il donc ? Je suivais le trajet de sa main des yeux, inquiet. Cela ne me rassurait pas vraiment, ce qu'il faisait ... Pourquoi approchait-il sa main de cette bosse ? De longs frissons me parcouraient le corps, cette bosse ne faisait que grandir. Cela devait forcément m'arriver à moi ... ? En plus, ça commençait à me faire mal. Son index glissa bientôt le long de cette bosse, un gémissement étrange parvenant en même temps de ma gorge. Pourquoi ... ? Je coinçait bientôt ma lèvre inférieur entre mes mâchoires lorsque Suzuki-sempaï déposa un nouveau baiser dans mon cou. Je regardais bientôt cette bosse et sa main, j'étais loin de comprendre tout ce qu'il se passait et cela me rendait vraiment nerveux. Suzuki-sempaï vint bientôt coller ses lèvres aux miennes, me faisant relever le regard vers le sien. Un frisson me parcoura l'échine, je ne comprends vraiment plus rien ... Lorsque ses doigts se glissèrent sous mon boxer, j'étouffai un gémissement dans ce baiser. Je décollai subitement mes lèvres des siennes, un air paniqué au visage.

- Qu'est-ce que vous faites ... ?

Je déposai l'une de mes mains sur la sienne, près de mon boxer. Je ne comprenais pas et je ne voulais vraiment pas savoir ce qu'il comptait faire. Je poussai doucement sa main loin de mon boxer, plantant un regard incompréhensif dans le sien. J'étais vraiment naïf et pourtant tellement peureux. Je fermai vivement les yeux, les joues brûlantes et cette bosse qui me gênait vraiment beaucoup. Je passai ma main libre dans mes cheveux, déposant celle-ci ensuite contre le torse du jeune homme pour le repousser un peu. Mes paupières se serrèrent l'une contre l'autre, je ne voulais plus ... Je ne comprends pas ce qu'il veut faire, je ne veux pas qu'il me touche ainsi. Je détournai bientôt la tête, entrouvrant enfin les pauîères pour fixer la fenêtre ouverte. Pourquoi avais-je si chaud ? L'air frais pouvait pourtant entrer ...

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Qu’est-ce que je fais ? Ben j’essais de l’aider c’est tout. Roh ! On veut rendre servir est voilà comment on réagit ! Merci ! Je soupire alors qu’il me repoussait, ben qu’il se dé&brouille seul alors au lieu de me poser des questions bizarre ! Moi j’essaie juste de lui appendre les choses de la vie si après il me fait pas confiance. Je me laissais faire ne montrant aucune rébellion alors qu’il me poussait, ben qu’il aille bander ailleurs que sur mon lit ! Enfin mon lit … Ouais bon ok, c’tes pas le mien… Sur le mien je pense qu’il a eu sa dose au soir… Je soupirais passant ma main dans mes cheveux alors que je me laissais tomber doucement en arrière pour m’allonger sur mon lit. J’écartais bien sûr les jambes pour pas toucher Kiryûu sinon il serrait capable de pas savoir se retenir encore plus longtemps. Surtout que je suis sur qu’il ne doit pas avoir beaucoup d’endurance pour se retenir. En moins de deux il aurait été tranquille mais vu que monsieur veut se la jouer petit saint qu’il se débrouille. Moi je l’aide plus en tout cas !

« Ben débrouille toi tout seul. Mais ce n’est pas en restant sans rie faire, que Cela va partir ! Et sois gentil va aux toilettes je n’ai pas envie de salir les draps de ce lit. »

Je me redressais quelque peu le fixant alors que je finis par me lever du lit pour retourner dans le mien qui était bien frais à présent. Qu’il se débrouille seul je rêve de le voir à l’œuvre ca risque d’être assez amusant. Je croise mes jambes posant mon coude sur ma cuisse droite pour ensuite soutenir ma tête avec ma main.

« Vas-y je t’en pris vais moi voir comme tu compte calmer cela. »

Je suis détestable par moment ? Surement oui. Mais j’ai perdu l’habitude de recevoir de refus en pleine tronche. D’habitude même les personnes sans expérience dans ce domaine là ce laisse faire par moi alors bon, que lui refuse que je le touche cela m’énerve vraiment au plus au point. Alors qu’il me montre lui comment faire s’il est si malin que cela. Et ce n’est pas la peine de venir me voir en pleurnichant j’irais l’envoyer balader, une fois qu’on me refuse quelque chose c’est même plus la peine de revenir me voir. Ah moins, que enfin il y a toujours des exceptions quoi… Je tournais els yeux vers ma fenêtre attendant sagement qu’il se décide. Dehors en tout cas, l’orage semblait s’est calmé mais l’eau tombé en rafale dehors. Je plains les pauvres personnes dans la rue, qui m’ont tenues compagnie avant que je ne sois sauvé et envoyé ici.

Invité

Je le fixais longuement, je l'avais vexé ? Ca va pas partir en plus ... Tant pis, je dormirais pas ! Pourquoi est-ce qu'il s'en va ? Je fermai lentement les yeux, baissant la tête vers les draps du lit, faisant à présent dos au jeune homme qui s'était installé sur son lit. Qu'est-ce que ça fait ? Pourquoi devrais-je aller aux toilettes ? Je relevai lentement la tête lorsqu'il parla de nouveau, je l'ai vexé tant que ça ... ? Je gardai les yeux clos, ceux-ci commençait à me picoter ... Pourquoi suis-je si fragile mentalement ? Je passai ma main dans mes cheveux, posant ensuite mes mains sur mes yeux. Des sanglots vinrent bientôt secouer mes épaules. Je ne sais même pas pourquoi je pleure ... Je serrai bientôt mes genoux l'un contre l'autre, les joues toujours brûlantes. Ca va donc pas me laisser tranquille ? Pourquoi suis-je venu ici ? C'est moi qui ait commencé en plus. Je laissai mes mains retomber contre les draps, je m'en vais ! Je retourne dans ma chambre ! Je me retournai bientôt, gardant le regard bas pour ne pas regarder Suzuki-sempaï. Je relevai un court instant les yeux, entrouvrant lentement les lèvres.

- Je ... Aidez-moi, s'il vous plaît ...

Murmurais-je péniblement, tournant la tête de côter, me levant péniblement du lit pour m'approcher du jeune homme, déposant ma tempe contre son épaule, restant debout, les jambes tremblantes. J'étais totalement perdu, pourquoi avais-je encore fait des miennes ? Je suis stupide et très maladroit ... Je déposai mes mains sur son torse, doucement, frôlant presque celui-ci. Je veux qu'il m'aide ... Je serais près à le supplier à genoux pour qu'il m'aide, je suis loin de comprendre ce qu'il m'arrive. Je soupirai longuement, fixant son cou sans raison particulière. Les joues noyées sous les larmes, je passai mes mains dans son cou, évitant soigneusement de coller cette bosse contre le genou de Suzuki-sempaï.

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Mon regard se posa sur les épaules sautillantes du jeune homme, voulait-il que je l’aide ? Je n’en ai pas envie. S’il m’a déjà repoussé c’est qu’il ne veut pas après tout. Mais il s’emballait totalement perdu cela était vraiment bizarre en faite. Je soupirais alors que je fermais lentement les yeux je ne pouvais plus rien faire c’était à lui de voir s’il voulait de mon aide à présent, mais d’un sens s’il ne se laisse pas faire je ne pourrais pas faire grand-chose. J’ouvris de nouveau les yeux alors que je l’entendis bouger, il revient vers moi… Mais pourquoi ? Après tout je ne suis pas forcement dès plus agréable avec lui. Je le laissais faire fermant les yeux alors que sa voix atteignit mes oreilles. Voilà qu’il me dit encore ‘vous’, han… Comment lui dire non mais en même temps si je le touche de nouveau est-ce qu’il allait l’accepter.

« Pour cela il faut que tu me laisse faire Kiryûu… »

Je le regardais silencieusement sans rien dire alors qu’un léger sourire s’afficha sur mes lèvres. Ma main caressa doucement sa joue alors que j’attendais simplement qu’il me donne son accord. Pour le moment j’allais déjà commencer par le consoler. Je le pris doucement dans mes bras, le serrant doucement alors que j’essuyais lentement ses larmes avec mes doigts. Je le berçais voulant alors calmer ses pleures, je suis vraiment un monstre n’est-ce pas ? Faire pleurer un être si mignon et fragile… Kiryûu pardonne moi d’être comme je suis. Je soufflais doucement contre sa peau, m’excusant alors auprès de lui plusieurs fois de le faire pleurer. J’aurais pu du agir de la sorte surtout que je sais qu’il est fragile mais j’avais agit sans réfléchir et sous l’effet de la colère…

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Le laisser faire ? Oui, oui, s'il pouvait me débarrasser de ça ... Ah ! Il sourit, ça me rassure ... je tentai de faire de même mais cela fut plus difficile. Je me raidis légèrement lorsqu'il me serra contre lui, fermant les yeux tandis qu'il essuyait mes larmes. J'accrochai lentement mes bras autour de son cou, entrouvrant les paupières lorsqu'il s'excusa. Hein ? Mais c'est de ma faute ... je n'aurais pas du le repousser mais je ne comprends pas ce qu'il cherche à faire. Je plantai mon regard dans le sien, décrochant lentement mes bras de son cou pour me blottir contre lui. Je déposai ma tête contre sa clavicule, soufflant longuement contre son torse. Je me levai lentement, m'asseyant sur les jambes de Suzuki-sempaï, posant mon dos contre lui.

- J-Je ... pardon ... Suzuki-sempaï.

J'attrapai bientôt l'une de ses mains avec la mienne, fermant lentement les yeux. Je serrai bientôt mes genoux l'un contre l'autre, l'excitation ... montant lentement en moi. Si j'ai bien compris, c'est à cause de ça que j'ai une bosse.

- Ca fait mal ...

Soufflais-je péniblement, serrant mes paupières l'une contre l'autre. J'entrouvrai bientôt les yeux, fixant cette bosse dans mon sous-vêtement sans aucun mot. Je fronçai légèrement les sourcils, nerveux et cette sensation indescriptible qui me parcourait toujours. A quoi ça sert cette étrange bosse ? Moi je trouve que ça n'attire que des ennuis ! Ma main libre se déposa contre mes lèvres, soupirant longuement sans raison particulière.

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Je restais sans bouger me contentant de sentir l’odeur, j’aime son odeur, j’aime la douceur de sa peau. Non, j’aime tout chez lui-même son côté empoté et son côté extrêmement timide. Mais j’aime tout de même cela, c’est finalement vraiment attendrissant. Je sentis le jeune homme bouger, mon regard se posa sur son visage alors qu’un léger sourire se dessina sur mes lèvres. Apparemment il acceptait de se laisser faire et je pouvais le toucher à présent, je n’allais pas lui faire de mal. Bien au contraire il allait même vite le sentir alors que je pourrais commencer, il se sentira soulagé. Il est vraiment mignon même lorsqu’il s’excuse… Je sursautais légèrement en sentant sa main prendre la mienne qu’allait-il faire avec ? Enfin j’ai une idée mais est-ce vraiment cela ? Est-ce qu’il a vraiment si peur que ca pour me tenir alors la main. Je soupirais doucement dans son cou entendant bien vite sa voix. Tu as mal… Ne tant fais ca va aller mieux bien vite mon cher et tendre Kiryûu. Ma main libre glissa lentement le long de son ventre alors que je rapprochais mon visage du sien le regardant du coin de l’œil.

« Tant fais pas ca va aller. Fais-moi confiance. »

Mes lèvres se posèrent doucement contre sa joue alors que ma main atteignit bien vite la bordure de son boxer. J’allais le toucher enfin… Mes doigts glissèrent doucement alors dans son sous-vêtement. Quelques centimètres alors encore non quelques millimètres. Je frôlais bien vite son membre durcit alors que je mordais la lèvre inférieure. Mes doigts glissèrent doucement sur son membre alors que mes lèvres continuaient d’embrasser la joue du jeune homme mordillant de temps en temps sa peau. Mon index vint bien vite titiller le gland du sexe de Kiryûu. Il faudrait que je récupère mon autre main… Mais pour le moment, je devais attendre qu’il soit assez détendu pour me lâcher. Ma main pris bien vite son sexe pour commencer quelques mouvements de va et viens alors que mon autre main serre celle de minou. Mon visage se frotta contre la joue du jeune homme alors que mon souffle s’accéléré rapidement ainsi que mon rythme cardiaque.

Invité

Mon coeur tambourinait dans ma poitrine, mon regard suivait le trajet de sa main jusqu'à mon boxer. Mes paupières tombèrent lentement, son souffle dans mon cou me faisait frissonner. Je n'appréciais pas d'être aussi nerveux. Je rouvris brusquement les yeux lorsque j'entendis sa voix. Pourquoi me dit-il ça ? Ca fait quoi ? Je mordais doucement ma lèvre inférieur tandis que sa main frôla bientôt cette bosse par dessous mon sous-vêtement. Je fermai vivement les yeux, serrant mes doigts tremblants contre la main de Suzuki-sempaï. Comment est-ce que j'en suis arrivé là, moi ? Le corps tendu, son index fut au dessus de cette bosse, un gémissement parvint alors de ma gorge. Quelle ait cette étrange sensation ... ? Je ... s'est plutôt plaisant. Je serrai subitement mes genoux l'un contre l'autre, pourquoi est-ce qu'il me fait ça ? Je glissai ma main libre le long de son bras, l'accrochant doucement à son poignet. Je me rassurais comme je pouvais. Je brûlais à l'intérieur, c'est très étrange ... Je ne pus plus longtemps retenir ses drôles de sons qui parvenaient de ma gorge. Les lèvres entrouvertes, je rejetai ma tête en arrière, déposant celle-ci contre l'épaule de Suzuki-sempaï. Ces vas-et-viens étaient vraiment agréables ... mes gémissements devenaient lentement plus puissants, mon dos se cambrait. Mon coeur tappait toujours si fort dans ma poitrine et dans un dernier long et puissant gémissement, quelque chose s'échappa de mon corps. Qu'est-ce ... ? Je relevai lentement la tête, tournant la tête vers celle de Suzuki-sempaï, le regard voilé par le plaisir. Mes oreilles étaient de sortie, je battai celles-ci vers l'arrière, ma queue frottant nerveusement contre son ventre et mon dos.

- Je ... Heu ...

Je ne comprenais toujours pas ce qu'il faisait. Perdu ? Vraiment, oui ... Pourquoi est-ce qu'il me faisait tout ça ? Je me levai lentement de ses jambes, me retournant pour m'assoir sur celles-ci, faisant face au jeune homme. Je déposai mes mains sur ses épaules, relevant lentement mes oreilles.

Invité

Il était tellement beau… Mon regard ne pouvait pas quitter son visage rougit alors que ma main semblait s’accélérer au rythmes des gémissements qu’il laissait parvenir a mes oreilles. Il semblait apprécier finalement, j’avais raison non ? Mes yeux ne quittèrent le visage du jeune homme que lorsque je sentis sa main me gêner dans mes mouvements cela n’était pas vraiment pratique. Mais ce n’était pas grave je voulais qu’il se sente seulement bien. Mais je dois dire dans l’historie que le pire c’est que je n’arrivais même pas à avoir une érection, j’étais tellement crevé que je n’y parvenais pas. Enfin cela évite des problèmes par la suite. Je sentis bien vite sa tête venir contre mon épaule. C’est horrible j’avais envie de lui mais je me sentais comme impuissant. Tant pis, je ne pense pas qu’il découvre plus le plaisir pour au soir. Mais cela devait être un grand pas pour lui ! Mon visage vint bien vite se frotter contre le sien. Alors que je sentis le jeune homme jouir. Ses yeux étaient tellement beaux à voir… Mes lèvres se posèrent doucement sur sa joue alors que ma main sortit bien vite de son boxer pour le laisser tranquille à présent. Ses magnifique attribut félin étaient de nouveau sortit et un sourire se dessina doucement sur mes lèvres. Il était vraiment encore plus beau ainsi bien que naturellement il le soit déjà. N’empêche quand on y pense bien j’étais en train de le faire basculer dans un monde n’étant moins pur que celui qu’il côtoyait jusqu’à présent. Il semblait vraiment perdu le pauvre. Mon regard se posa sur ma main qui avait désormais une couleur blanchâtre…. Hum. Bon pas le choix après un rapide coup de langue il n’y avait plus rien. Mes yeux noirs se reposèrent sur le jeune homme alors qu’il se trouvait face à moi. Sans vraiment chercher à comprendre mes lèvres se posèrent sur les siens, un peu comme ci cela était une promesse de ma part de pas l’abandonné. J’embrassais que très rarement les personne bien que je me laissais embrasser sans broncher. Mes lèvres se collèrent doucement après son doux baiser tandis que mes mains se posèrent sur ses hanches.

« Ca va mieux ? Tu vois ce n’était pas horrible, au contraire non ? »

Un sourire taquin apparut sur mes lèvres alors que mes yeux n’arrêtaient pas de dévoiler l’affection que je portais pour lui. Sans rien dire de plus je me collais contre lui le serrant dans mes bras, alors que mon menton se posa sur son épaule. Mon visage trouvant refuge dans ses cheveux. Mes lèvres se posèrent doucement contre la peau de son cou.

Invité

Je passai l'une de mes mains dans mes cheveux blonds, baissant les yeux sur le torse de Suzuki-sempaï sans vraiment m'en rendre compte. Que dire ... ? Ou même que faire ? Pas grand chose, de mon point de vue, je n'avais rien à ajouter. J'étais bien trop perplexe et mal à l'aise pour. Je relevai brusquement mon regard sur son visage lorsqu'il scella doucement nos lèvres. Que fait-il ? J'avais eu l'impression un instant qu'il n'allait jamais en prendre l'initiative. Je fermai lentement les yeux, le coeur tambourinant dans ma poitrine. Il décolla bientôt ses lèvres des miennes, me faisant relever lentement les paupières. J'aurais encore bien profiter de ce contact mais Suzuki-sempaï ne semblait pas du même avis. Pas horrible ... ? Mes joues rougirent à nouveau, mes yeux se fermant lentement tandis que je baissai la tête. Un faible son indescriptible parvint de ma gorge, le jeune homme se collant bientôt contre moi. Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a ? Je déposai bientôt mon front sur l'épaule de Suzuki-sempaï, m'autorisant à me reposer un court instant. Je finis par me laisser totalement aller, sombrant lentement bien que je me forçais à rester éveiller. Je tournai bientôt la tête vers celle du jeune homme, mon souffle courant dans son cou, la fatigue était bien plus présente, je n'avais pourtant pas fait grand chose ... Je serrai bientôt mes genoux contre les jambes du jeune homme, ma nervosité toujours présente. Je déposai mes mains contre le buste de Suzuki-sempaï. Etais-je le seul à qui il offrait tant d'attention ? L'impression que non m'opressa le coeur, mes yeux s'entrouvrant lentement. J'aimerais savoir mais je risquais de ne pas avoir de réponse ... J'entrouvris bientôt les lèvres, soupirant tout en cherchant à créer un phrase.

- P-Pourquoi vous ... tu fais tout ça ... ? Je suis loin d'être attirant, je n'ai pas un caractère plaisant et je suis encore moins populaire que le dernier des crétins ... Il y a d'autres personnes plus belles que moi qui arpente les couloirs, comme le type qui est sortit de ta chambre ... tantôt ...

Sujet délicat ? Peut-être mais je voulais savoir. J'étais assez curieux mais je suis loin d'être insistant, s'il ne voulait pas en parler, je ne le demanderais plus ... Je fermai lentement les yeux, détournant bientôt la tête sans un mot de plus. Je n'aurais peut-être pas du dire ça ... Je me levai bientôt de ses genoux, m'allongeant lentement sur le lit, par dessus la couverture. Pas l'envie de me plonger dessous. Je tournai le dos au basketteur, soupirant longuement, me blottissant contre les draps. Je battai mes oreilles en arrière, fermant lentement les yeux, le calme m'habitant lentement, bien que l'envie d'entendre une réponse ne me tiraille les entrailles (Ca rime ! =D).

Invité

Un sourire se dessina doucement sur mes lèvres, alors que je fixais le jeune neko. Il est vraiment mignon oui… Mais je n’étais surement pas la meilleur personne pour lui, j’étais loin d’être dès plus gentil et encore moins très sympathique. Je relevais brusquement les yeux alors que j’entendis sa voix. Pourquoi dire cela ? Il a surement peur du fait que je profite de lui non ? Un soupire s’échappa d’entre mes lèvres alors que je laissais le silence remplir la chambre. Pourquoi avoir fait ca ? Dans le but de le toucher pour satisfaire ma petite personne… Je ne bougeais pas le laissant se mettre allongé sur le lit alors que je me levais pour ma part de celui-ci pour ouvrir la porte de ma chambre me retournant alors vers le jeune homme le regardant fixement. J’entendis bien vite des pas alors que quelqu’un se baladait dans les couloirs, surement l’un des mes ’clients’… Cela n’était pas une fierté pour moi mais n’ayant pas de petit ami… Il fallait faire avec non ?

« Tu es plus important pour moi que tu ne le pense. Et je ne te considère pas comme tous ceux qui attendent juste le bon moment pour se mettre dans mon lit… »

J’avais à peine finis de prononcer mes mots qu’un jeune homme arrivait à l’encadrement de la porte. On pourrait le comparer à un chien, la queue remuant et en train de faire le beau pour que je m’intéresse à lui. Je fermais bien vite la porte à clé alors que je m’avançais vers le lit pour m’accroupir devant celui-ci.

« J’aime ton caractère, ton physique… Tout, Ta pureté aussi ! Tu n’es pas là juste pour je t’aide à te sentir bien… L’autre mec qui est sortit de ma chambre était là juste pour mon corps… Il s’en fiche de savoir ce que je peux ressentir, mais toi tu as l’air si différent des autres. »

Je posais lentement mes mains sur le lit alors que mon visage se posa sur celle-ci, un léger sourire bordant mes lèvres. Est-ce une bonne réponse ? Où est-ce que j’aurais du répondre autre chose. Je restais sans bouger ayant peur de ses réactions à présent.

Invité

Mes yeux s'entrouvrirent lentement tandis que je relevai péniblement la tête, fixant Suzuki-sempaï s'éloigner. Quoi ? J'ai dit quelque chose qu'il ne fallait pas ? Il ouvrit bientôt la porte et je m'attendais à ce qu'il sorte mais il me répondit bientôt. Alors il m'appréciait tant que ça ... ? Un faible sourire dessina mes lèvres, je posai les yeux sur l'oreiller. La porte claqua bientôt, me faisant vivement tourner la tête. Heureusement, il n'était pas sortit. Je suivis ensuite des yeux le trajet qu'il fit jusqu'au lit pour s'accroupir. Je l'écoutai une nouvelle fois parler sans comprendre vraiment tout ce qu'il disait. Ma pureté ? Il parle de quoi par là ? Je n'étais pas si différent ... en fait, je ne voudrais pas être tant différent, les autres en profite pour me blesser plus que je ne le suis déjà. Les regards qu'on me lance m'écrase, c'est désagréable. Je me relevai lentement, m'asseyant, les jambes repliées contre mon buste, sur le lit, face à Suzuki-sempaï. Je soupirai bientôt, baissant lentement les yeux sur les draps pour les relever ensuite vers ceux du basketeur.

- Je suis plus naïf, c'est ça qui me différencie des autres ... je crois à peu près tout ce qu'on me dit et je me fais rouler facilement, je ne le remarque même pas. Il y a des jours ou j'aimerais vraiment être comme tous les autres ... mais cela me reste impossible. J'ai tout oublier, ce dont on devait se méfier, se qu'il ne fallait pas faire en présence des autres. Je réapprends doucement tout ça en ne faisant que des erreurs. Et je ne me sens pas si ... plaisant pour que tu t'interresses à ce point à moi ... Au contraire, j'ai l'impression d'être le plus stupide garçon sur la terre, cela ne me valorise pas vraiment.

Je détournai bientôt les yeux, me laissant tomber lentement contre les draps, tendant mes jambes qui froissèrent un peu plus les draps. Mmh ... ? Au fait, n'avais-je pas parler de mon handicap ? Oups ! Je tournai bientôt le dos à Suzuki-sempaï, les joues peignées de rouge. La boulette ! Faut toujours que je dise tous sans même m'en rendre compte.

Invité

Je restai accroupi à côté du jeune homme avant de soupirer en l’écoutant parler, je crois que j’avais même plus envie de lui répondre. Après tout qu’il pense ce qu’il voulait non ? Moi je sais ce que je ressens par rapport à lui et ce n’est pas lui qui va me faire changer d’avis, hors de question ! Il doit me croire, c’est lui que je préfère dans tous els mecs que j’ai plus au courant de ma longue existence. Si tu savais Kiryûu combien d’année j’ai de plus que toi, et encore cela ne se compte plus vraiment en année mais plutôt en siècle. Le monde évolue tellement vite… Quand j’y pense cela me fait bizarre… Je voudrais mourir mais les anges même déchut ne meurs pas facilement. Si seulement toi Kiryûu tu pouvais m’aider à fermer mes deux yeux pour toujours je commence à être fatigué de ma longue existence sur terre, je veux retourner au ciel me faire pardonner pour reprendre ma place d’ange… Nous ange si mal connu du monde humain même fantastique. Je me relevais pour me mettre à califourchon sur lui.

« Laisse-moi passer ce que je veux de toi. Si tu veux me donner une autre impression fait en sorte que je le ressente alors. Je ne suis pas comme tout le monde croit moi Kiryûu… »

Je parlais bien su avec les monstres comprit à l’intérieur… Monstre… Quel mot vraiment péjoratif quand on y pense bien… Je n’aime pas cette tournure. Je trouve ca horrible. Enfin bref, mon regard se plantant dans celui de minou avant de sourire simplement et de déposer mes lèvres sur els siennes laissant mon corps tomber doucement sur le sien pour le serrer contre moi. Qu’il me griffe ou qu’il me morde j’en ai plus rien à faire… Je ne bougerais pas, qu’il fasse couler mon sang cela ne me tueras pas pour autant. Un gémissement de douleur s’échappa de mes lèvres alors que je sentais mes ailes me jouer des tours pourquoi faut-il que tous les soirs je dois les laisser sortir pour qu’elles me laissent tranquille la journée. Je ne peux pas… Minou est là est je n’ai pas envie qu’il voit ca. Ce n’est pas forcément plaisant à voir.

Invité

Je me laissai tomber sur mon dos lorsque Suzuki-sempaï se plaça à quatre pattes au dessus de moi. Je plantai mes yeux dans les siens, l'écoutant attentivement parler. Je ne le trouvais pas si différent des autres, moi. Il était peut-être la seule personne normal dans ce bâtiment, cela me rassurait vraiment. Lorsqu'il me sourit, j'eus à peine le temps de faire de même avant de recevoir un court baiser de sa part. Un frisson me dévala l'échine et mes paupières se fermèrent à demi. Je me sentais bien, blotti contre mon aîné. Je déposai doucement mes mains sur ses épaules, fermant entièrement les yeux jusqu'à entendre un gémissement plutôt plaintif de sa part. Qu'est-ce qu'il a ? J'aurais voulu me glisser hors de son étreinte, rien que pour m'inquiéter pour lui, mais j'étais loin d'être pourvu de force, surtout que la fatigue m'assaillait sans pitié. Je nichai mon visage dans son cou, cherchant à le réconforter, plus qu'inquiet. Je l'avais blessé ? Je suis tellement maladroit ... Je levai bientôt le nez pour voir son visage, déposant un léger et hésitant baiser sur sa joue. Je n'étais pas entreprenant pour consoler quelqu'un, je laissais toujours la personne faire, elle se débrouillait bien. Mais je savais aussi que Suzuki-sempaï était quelqu'un de plutôt froid, lorsqu'il s'agissait de parler de lui. Mes paupières tombèrent de nouveau, je baissai lentement la tête, me lovant doucement contre lui. La fatigue avait raison de moi, malheureusement. Je sombrai rapidement, me laissant porter par les bras de Morphée. J'espérais me réveiller avec mon aîné près de moi. Après otut, peut-être avais-je rêvé toute cette après-midi passée avec le basketteur. Je faisais d'étrange rêve qui me semblait durer une éternité. Je risquais de ne même plus regarder Suzuki-sempaï si cette journée n'était, en réalité, qu'un rêve. Songer à être si près de quelqu'un alors que celle-ci ne vous accrode pas une once d'attention. Je fronçai les sourcils de contrariété, pourtant je sentais sa chaleur, son souffle contre moi. Si tout cela n'était que le fruit de mon imagination, ce songe de courte durée était vraiment réel.

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« Ca fait peur les n‘Orages XD. » [Pv.]

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