Du soleil, un paquet de cigarette et un mec blond...[PV Math]

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Ce que j'aime le soir...Le crépuscule, la fraicheur...La lune à toujours était mon astre préféré. Enfin, pour le moment, elle n'est pas lever. Ma solitude me refait penser à mon jumeau...Hector. La personne en qui j'avais le plus confiance. Il était la seule personne qui avait mon coeur. En faite, Hector était ma vie... Je ne comprend pas comment il a pu me faire ça. Comment il a pu m'abandonner pendant autant de temps...Je l'aimais. C'était mon autre moitier. J'ai commencer a faire de l'asme, et de l'anorexie quand il est partis. Enfin bref. Après il était revenue, comme si de rien était. Et j'avais refuser de lui parler, jusqu'à ce que j'arrive a Monster-academy...
Je tirais une autre bouffée de ma cigarette. J'aimais l'odeur que mes Malboro menthe dégageaient...Et oui, je sais que pour une fille de 16 ans, c'est pas bien de fumer, blablabla, surtout si elle est riche, mais je m'en fichais totalement !! Soudain, dans un éclat d'un rayon de soleil, je le vis arriver. Lui, ce blond qui avait tromper une de mes amies. Celui qui avait décrocher un coups de poing a mon meilleur ami. Cet imbécile prétentieux qui était terriblement séduisant, et qui le savait. C'était Math Rover, et ses magnifique cheveux couleur or qui avançait vers moi.

Invité

J'avais le moral au ras des chaussettes, j'avais l'impression de tout foirer. De tout faire foirer. Merde, pourquoi j'avais aussi mal ? La seule solution que j'avais trouvé, c'était de mettre de la musique à fond dans mes oreilles, histoire d'éviter de penser. Voilà comment on se retrouve à errer comme une âme en peine dans le crépuscule. Mon heure préférée de la journée qui se transformait aujourd'hui en calvaire. Oh, secoues-toi un peu Mathew Jared Rover ! Va de l'avant ! Relève toi et fais ce que tu t'es promis de faire !

Ouais... Mais non. Là, j'avais surtout envie de m'enterrer dans un coin. Comme un loser. J'aperçus quelqu'un en train de fumer dans la clairière. Cela réveilla en moi un besoin de nicotine inattendue, et mon paquet était resté en haut, dans ma chambre. Je souris amèrement en pensant à ce que dirait ma mère en me voyant... "il est temps de te reprendre en main mon garçon, et pas besoin d'avoir recours à ce genre de crasse. Un Rover n'a pas besoin de ce genre d'artifice, alors relève la tête mon garçon, et sois fier." Je me laissais tomber dans l'herbe à côté de cette personne, complètement à l'ouest.

-J'ai oublié mes clopes dans ma piaule. Je peux t'en taxer ...

Je tournais la tête et me figeais. Le bouton "alerte rouge" de mon cerveau clignotant a tout va. C'était l'amie d'Hailey.

... une ?

Oh merde, dans quelle galère j'allais me fourrer là, moi ? Je ne bougeais pas d'un cil. Il n'y avait pas trente-six solutions : soit elle faisait comme si le rien était et m'en refilais une ou pas, soit elle m'en refilait pas et me mettait sa main dans la figure...

Invité

Math s'assit près de moi. Il me demanda une cigarette; avant de se rendre compte de mon identité. Je ne savais pas trop quoi faire, puis je me souvenue de l'attitude qu'il avait eu envers Hailey, et surtout, surtout le coups de poing qu'il avait décrocher a Keith. Cette pensée me révolta, et j'eus envie de faire quelque chose de très très méchant. Je me retournais vers lui, pris une bouffée de ma cigarette, lui souffla en plein visage la fumée, puis lui écrasa cette dernière dans la main qu'il me tendait. Je lui souris ironiquement, et lui lança un regard hautain avant de lui dire:

Pense à moi la prochaine fois que tu utiliseras cette main pour faire du mal à un des mes amis, car je ferais en sorte qu'il soit vengé de manière définitive. Car vois-tu, malgré les apparences, je suis bien élever, mais je ne suis pas une gentille fille.

Et toc. Il fallait que quelqu'un le remette en place. Il devait se sentir vraiment mal...Mais je m'en fichais complétement. Je rangeais mon paquet de cigarette dans mon sac, histoire de lui faire comprendre qu'il n'aurait rien de moi. Rien que ça beauté parfaite me saouler...

Invité

Finalement, elle ne me frappa pas, bien qu'elle aurait pu. Elle se contenta de me souffler la fumée au visage et de m'écraser la clope sur la main.
Ouille.
C'est sensible cette partie là ! Elle sourit ironiquement et me regarda de haut. Ça me foutait en colère... mais je trouvais ça terriblement... captivant et attirant. Math, tu débloques...

Pense à moi la prochaine fois que tu utiliseras cette main pour faire du mal à un des mes amis, car je ferais en sorte qu'il soit vengé de manière définitive. Car vois-tu, malgré les apparences, je suis bien élever, mais je ne suis pas une gentille fille.

Prend toi ça dans les dents. Amplement mérité aussi. J'aurais pur guérir ça discrètement. Pourtant, non , je n'en avais pas envie. Abruti ! Je ne réagis pas. Je me contentais de plier et déplier mes doigts pour en chasser les fourmillements.

Je vois. Tu m'en veux aussi pour Keith et Hailey.

Le premier nom m'écorcha la bouche. Je le détestai. Pourquoi ? Parce que lui avait fait ce que j'aurais dû faire avec Hailey, plutôt que d'user de mes charmes ailleurs et la blesser.

Ne t'inquiètes pas, je ne m'approcherai plus d'eux. Je ne veux pas plus pourrir la vie d'Hailey.

Pourquoi je la trouvais aussi belle alors qu'elle venait de me cramer la main ? Bon, d'accord, j'ai toujours aimé les rebelles, mais là, ça craignait un max. Je détournais le regard, gêné.

Invité

C'était drôle cette façon qu'il avait de me regarder, alors que je venais de lui bruler la main avec me cigarette. Depuis que je trainer avec Keith j'étais d'une méchanceté...J'adorais!!!! Math était tellement beau...Il ressemblait a un dieu grec, avec ses cheveux blond, et sa peau claire. J'avais entendu parler de ce gars. Du faite qu'il venait d'Angleterre. Il était forcer de me connaitre, si il était vraiment anglais. Tout le monde anglais avait forcément entendu parler de la famille Stonnen, de leur jumeaux rebelles: Theodora, en l'occurrence moi, ne rentrant pas dans les codes vestimentaires et moral des gens de la haute société, et Hector, mon jumeau, musicien talentueu qui avait disparue pendant une période mystérieusement, avant de réaparaitre tout aussi bizarrement...
Depuis que mon frère m'avait laisser, j'étais plus fragile qu'avant. Et depuis que j'avais trouver K., je me sentais mieux. Math avait déboussoler, mais en même temps, je m'en fichais un peu...J'étais aussi assez étonner de voir que je le trouvais terriblement sexy...Je sortie mon rouge a lèvres/gloss rouge cerise de mon sac avant d'en repasser une couche sur les lèvres et de lui demander:

Tu viens d'où exactement d'Angleterre?

Invité

Tu viens d'où exactement d'Angleterre?

Je rêve où après m'avoir cramé la main, elle décide de gratter l'amitié ? Remarque, ce n'est pas forcément pour me déplaire... Tu dérailles total là Math ! Ressaisis toi. Ce n'est pas parce qu'elle est mignonne que tu dois reporter ton amour débordant sur elle... Pire encore, c'est une amie de ton ex, et de son nouveau petit copain.

De Londres. Camden Town, plus précisément. Petit quartier sympa... mais un peu mort dans le fond. Une Stonnen comme toi s'y ferait ch*** comme un rat crevé.

Parce que tu croyais vraiment que je n'aurais pas entendu parler d'elle. Je suis un vrai anglais... Et ma mère connaissait pas mal de choses. Je m'allongeais et regardait le ciel. Je me disait que j'aurais peut-être dû écouter un peu plus Tre, et moins faire le con. Mais bon c'était trop tard. Je fermais les yeux, et essayais de chasser son image de mon esprit. Ça aurait été plus simple si elle avait été moche ou banale.

Invité

Je pensais très très fort: *Je t'em***e Math; je porte ce nom de famille, mais je déteste mes parents et ma famille...Alors va te faire voir!!* Chut consience. Ce pauvre abrutie terriblement mignon ne sais pas que je passe le plus clair de mon temps dans le quartier de Rimbaud et Verlaine. En même temps, vu mes origines et mon nom de famille, il pensait peut être que j'allais faire les boutiques dans le Kensington...Ce qui est faux, puisque la plupart des friperies de la capital sont dans les autres cartier que le Kensigton...En même temps, là bas, les friperies sont les magasins genre Naf Naf... J'avais étais assez vexer par sa remarque, et il s'était allonger sur l"herbe. Je décidais de lui répondre:

Je suis du Kensigton. Un superbe quartier français et très chic. Un gars comme toi passerais pour un mendiant.

Et CLAC !! Ce que j'aime le clasher!! A y réfléchir, de tout ce que j'ai entendue, ça doit être la première fois qu'il se fait cassez ainsi par une fille. Par une seconde qui puis est ....MOUAHAHAHAH

Invité

Kensigton... Pouah. Qu'est ce que je serai allé faire là-bas ? Ah, peut-être jeter des pierres dans les vitres avec Trent. Oui, ça devait être ça. N'empêche, se faire remettre à sa place par une petite seconde.

Bah, mendier dans le quartier froggy', il faut vraiment être désespéré pour. Mais il faudra que j'essaye un jour... Qui sait, je pourrais récolter assez pour y acheter une maison.

Un sourire en coin étira mes lèvres. Ce n'était pas très fin, je le conçois, mais cette petite joute verbale m'amusait.

Camdem Town a plus de charme. Bon d'accord, Verlaine et Rimbaud étaient français. Mais le quartier est bien anglais. Quand on grandit dans un quartier comme ça, on a un sens des réalités bien différent de celui des autres.

T'es pas trop déphasée par rapport à ton beau monde ? D'être rabaissée à une "mam'zelle tout le monde" ?

Elle voulait un clash ? Elle avait trouvé son homme. De toutes façons, elle me détestait sans doute déjà, alors un peu plus ou un peu moins...

Invité

Attention, c'est que Mr Rover cherche la bagarre verbale. Franchement, il croit que je vais me laisser faire comme ça? Il rêve en couleur le ptit blond !! Et oui Mr, j'ai du répondant moi. Moi la gosse de riche, celle qui est pourrie gâter. Enfin, ça c'est ce que tu crois!! Tu vas voir Math Rover. Tu vas connaitre la vrai Théodora Stonnen:

Écoute mon gars, si j'étais mam'zelle tout le monde, personne ne connaitrait mon nom, or, tout le monde me connait. Mais c'est plutôt a moi de te poser ce genre de question, tu n'es pas habituer a tout ce luxe !! Ça te fais quoi d'être considéré comme une personne?

Alors? ça fais quoi de se faire remettre en place correctement par une riche de 16 ans? J'avoue, je me venge, mais fallait pas mettre un coup de poing a Keith et essayer de me claquer sur mon nom de famille. Ok, je me calme, mais on verra bien qui de nous deux aura le plus raison...

Invité

La partie devenait intéressante. Apparement, elle voulait jouer, la demoiselle.

Être considéré comme une personne ici ? Aucun intérêt. Ce que pensent les autres, ça les regarde. Je suis un Rover. Vagabond dans le nom et dans l'âme. Alors franchement, qu'importe ce qu'il y a dans la tête des gens autour de moi. Je ne suis que de passage. Être quelqu'un ou être personne importe peu dans ce cas-là.

Et ce que pensent les être humains. Pouah, ils ne méritent que mon mépris. Je ne vois pas pourquoi je devrai me préoccuper de ce qu'ils pensent, puisqu'un jour, ils me craindront tous. Mon regard s'était durci, comme à chaque fois que je pensai à mon père. Oui, ils me le paieraient.

Je fixais mon regard sur les eaux sombres du lac et savourait le silence qui avait suivit ma réplique. Je me demandais ce qu'elle allait bien pouvoir me répondre.

Invité

Vexée? Je ne savais pas qu'elle était la nature de ce sentiment pourrie qui me formais une boule dans le ventre. Le gros problème de Math Rover, c'était qu'il me rappelait
étrangement...Hector. Sa façon de parler, et de revendiquer le faite qu'il soit libre et rebel. Son timbre de voix, ses yeux. J'avais presque le sosie de mon frère près de moi. autant dire: presque mon sosie masculin. La pensée du faite que Math se rapprochait tellement de H. me perdait dans un monde qui n'était pas la réalité. Et je fus prise au dépourvu lorsque je sentie une larme rouler sur ma joue, aussi pale qu'une poupée de porcelaine. Ce qui signifiais aussi que mes yeux devenait tellement bleus que j'aurais pu hypnotiser Math en rien de temps. Et ce qui signifiais aussi que si j'avais sentis la larme, il l'avait vu.
En faite, en y réfléchissant bien, j'avais été vraiment vexer par ses remarques concernant ma richesse. Je détestais le faite d'être riche, de devoir entrer dans des codes de paroles, vestimentaire, et ne pas pouvoir manger avec les doigts. Déjà étant gamine, je devais couper et manger ma pomme avec des couverts. Je devais vouvoyer mes parents, et nommer mes parents: "père et mère". Hector avait respecter comme moi ces codes jusqu'à ce que nous fêtions nos 13 ans...C'est à ce moment que tout est partis en sucette. Et je suis heureuse. Mais le regard des autres et toujours présent. Toujours, les gens sont là pour me dire que j'ai été pistonner où je ne sais pas quoi...C'est pesant au bout d'un moment...

Parce que tu es riche, tu n'es pas forcément bien traiter.

Invité

Je vis la larme rouler sur sa joue. J'avais eu envie de la sécher, mais ça aurait été ... inconvenant. J'ai toujours été plus ou moins empathe, j'arrivais à percer les humeurs des gens assez facilement quand j'en ai envie. Là, sans le vouloir, je resentais sa vexation, sa lassitude des mondanités.

Parce que tu es riche, tu n'es pas forcément bien traiter.

AU contraire. Tu as plus de barrières. Et tu ne peux pas monter plus haut. Tu ne peux que chuter. La déchéance involontaire est douloureuse, mais quand tu choisis de tourner le dos, tu peux sans peine partir de rien. C'est ce que Trent aurait dit. Moi, je cherchais mes mots.

Tu n'es jamais bien traité. Les autres veulent que tu ressembles à quelque chose qui ne les effraie pas. Qui ne les mets pas en danger. Sinon, pourquoi serions-nous obligés de passer par l'Academy ? Dès que tu appartiens à un groupe socio-culturel, t'es enchaîné. Plus tu t'élèves dans la hierarchie, plus tu as de chaînes. Où que t'ailles, il y aura toujours quelqu'un pour te le rappeler.

Ici moins qu'ailleurs. Feindre d'être autre chose que ce que l'on est, c'est comme se forcer à porter des fringues trop petites : tu étouffes, tu as mal.

Invité

Ah Ah Ah...Mais quel con ce mec !! D'abord, il me vexe, en plus, il me rapelle mon frangin, et maintenant, il se la raméne avec sa psycologie à deux balle. Mais, est-ce qu'il s'y connait un minimums sur la mondanité, sur mon monde, sur la richesse, sur les appartements de la Reine d'Angleterre, sur tout ce que j'ai vécu, pour oser se la ramener? Cet imbécile me donner l'impression d'essayer de se ratraper de son coups de poing dans la tète de mon meilleur ami. J'avais aussi l'étrange impression qu'il me draguait. Qu'il était étrangement attirer par moi. Le gros problème dans tout ça, c'est que je l'étais aussi. Et sa remarque sur l'étiquette qu'on nous colle, et qui nous quitte jamais, m'avait étrangement fais sortir de mes gongs:

Mais qui es tu, Math Rover pour oser me dire que l'étiquette qu'on nous colle, ne nous quitte jamais? Essaye tu de me faire culpabiliser? De me faire croire que c'est de ma faute que je sois riche, que mes parents sois des proches de la Reine Mère, et qu'il me renient parce que je n'aime pas les codes vestimentaires et les mondanités qu'ils apprécient tant? Que c'est aussi de ma faute que mon frère jumeau m'ait abandonner sans raison, et que toi, tu arrive, et que tu ose me troubler, en m'attirant comme ça, et en parlant comme mon frère?

Je n'avais pas remarquer que je pleurais. Franchement je vous avourez chère consience, que je ne sais point ce qu'il m'a prit après. Je me levais, pris mon sac, me dirigeais vers Math, lui mis une gifle, et me laisser tomber a coter de lui pour l'embrasser, avant de partir vers l'école. Au fond de moi, j'avais envie qu'il me ratrappe. Oui, une furieuse envie qu'il me ratrappe...Keith allait me tuer, mais qu'importe !! Je suis une rebelle non?

Invité

Je me rendis compte que j'avais pu la vexer. Je l'avais vexer. Et pas qu'un peu.

Mais qui es tu, Math Rover pour oser me dire que l'étiquette qu'on nous colle, ne nous quitte jamais? Essaye tu de me faire culpabiliser? De me faire croire que c'est de ma faute que je sois riche, que mes parents sois des proches de la Reine Mère, et qu'il me renient parce que je n'aime pas les codes vestimentaires et les mondanités qu'ils apprécient tant? Que c'est aussi de ma faute que mon frère jumeau m'ait abandonner sans raison, et que toi, tu arrive, et que tu ose me troubler, en m'attirant comme ça, et en parlant comme mon frère?

Je détournais les yeux gênés. Je me sentais plutôt mal, à vrai dire. Elle pleurait. Et j'ai toujours détesté faire pleurer une fille. Avant que j'ai pu m'excuser, elle s'était levé, m'avait gifflé puis embrassé. Avant de s'enfuir. Ma joue me cuisait. Je la regardais s'éloigner sans bouger. La main sur la joue. Je ne savais pas quoi faire. La rejoindre ? Rester ? Pourquoi est-ce qu'elle m'avait embrassé ? Mécaniquement, je me levai et courus la rejoindre. Je lui pris la main et lui relvai le visage.

Je suis Math Rover. Le fils de Jade Rover. Et je suis bien placé pour savoir qu'une étiquette ne part jamais. Mais il suffit d'en coller une autre par dessus. Si on veut, on peut tout effacer, et recommencer comme on veut. Tu crois quoi ? J'em***** tout ce cinéma. Les gens me haïssent pour ça.

Mu par une impulsion inconsidérée, je l'embrassai. Keith allait encore me frapper. Je la lâchais et reculais d'un pas.

Je suppose que toi aussi tu dois me haïr.

Invité

Je sentis sa main attraper la mienne. Je me retournais, et il me releva la tète. Puis il me dit:

Je suis Math Rover. Le
fils de Jade Rover. Et je suis bien placé pour savoir qu'une étiquette
ne part jamais. Mais il suffit d'en coller une autre par dessus. Si on
veut, on peut tout effacer, et recommencer comme on veut. Tu crois quoi
? J'em***** tout ce cinéma. Les gens me haïssent pour ça.

Je me sentis tout a coups très mal a l'aise...Jade Rover était une des sorcière les plus puissante du dernier siécle. Et...donc Math serais un sorcier? Des question mes bonbardère la tète, mais elles disparurent toute lorsque Math posa ses lèvre sur les miennes. Quelques secondes après, il lacha ma main, et recula d'un pas, me demandant si moi aussi je le haïssais...

Je te haïs parce que tu m'attire...

Je me raprochais de lui avant de l'embrasser tellement passionément que je ne savais pas comment on faisaient pour respirer...La passions était tellement forte que je ne comprenais même pas pourquoi nous étions ainsi...M'accrochant a lui, je n'avais pas envie de quitter ses lèvres si agréable, et son parfum si parfait...

Invité

Je te haïs parce que tu m'attire...

Elle m'embrassa si passionnément que j'en eus le souffle coupé. J'étais tellement bien que j'aurais voulu que cela ne cesse jamais. Mais mon esprit se tourna vers Hailey. Et si je brisai le coeur de Theodora de la même façon ? Je me détachais à regret d'elle en essayant de paraître dur.

Alors haïs moi. Mais ne t'approches pas de moi. I'm an Heartbreaker. Je te briserai le coeur, comme j'ai brisé celui de Hailey.

Ça la ferait souffrir, mais elle m'oublierait. Il valait mieux pour elle. Parce que je savais que je ne pourrai pas m'empêcher de faire des choses stupides. J'étais comme ça. Je l'ai toujours été, et je le serai toujours. Un gars haïssable.

Ça me faisait mal. J'abandonnais la partie avant d'avoir commencé, mais cette fois-ci, je n'avais pas envie de tenter le diable. Et pas juste à cause de Keith. Elle avait assez souffert de perdre son frère. Il vallait mieux pas que j'en rajoute.

Invité

Quoi répondre? Qu'il n'avait pas le droit de me comparer à Hailey? Que j'étais bien mieux qu'elle? Que jamais je ne sauterais dans les bras de quelqu'un d'autre que lui? Mais j'étais incapable de bouger. Alors Théodora Stonnen était une ratée. Même Math Rover, le plus séduisant dragueur de la planéte, ne voulais pas de moi. Pourtant, son excuse était...plutôt convainquante. Mais, j'avais peur. Peur que Keith le découvre, peur que Hailey m'en veuille, peur de perdre Math. Ce sentiment qui me tenais, n'étais pas l'amour, ni l'amitier...De la Haine certainement...Mais ne dis on pas que l'amour est proche de la haine?
Avez vous déjà lu "Fascination"? Et bien, en ce moment, j'avais l'impression d'être dans le second tome. Celui où Edward quitte Bella dans la forêt pour la protéger. C'était pareil. Math était Edward, et moi j'étais Bella. Pleurer, c'est tout ce que j'arrivais a faire. Je savais qu'il voulait me protéger, puisque j'arrivais à lire dans les pensées des gens, quand leurs émotions était assez forte. En l'occurrence, là, Math ne voulais pas me faire souffrir. Il partait, vers l'école, mais je sentais qu'il n'étais pas presser...

Je t'en supplie Math, ne me laisse pas comme ça !! La haine est trop proche de l'amour. On se cacheras, on fera comme si, rien ne s'était passer, mais... Je sais qu'entre nous, il y a quelque chose qu'on ne peux pas renier. Et, je ne suis pas comme toute les filles que tu as courtiser. Tu n'as rien fais pour me draguer jusqu'à présent. Je t'en supplie...

Revient Math, revient. Revient, j'ai besoin de toi, je t'en supplie...Revient, prend moi dans tes bras, embrasse moi. J'ai besoin de toi. Je t'en pris...

Invité

J'étais déchiré. Pris entre deux feux. Je n'arrivait pas à me décider. Une partie de moi avait envie de se barrer en courant, de monter quatre à quatre ces fichues marches et de se réfugier là haut, bien à l'abri dans la chambre qui m'était attribué, lâchement... L'autre voulait faire demi-tour, obéir à la supplication inachevée de Théodora. La prendre dans mes bras, me faire pardonner.
J'en avais mal au crâne. Un rictus douloureux étira mes lèvres.

Tu es folle, Stonnen. Folle et masochiste. Il y a des dizaines de mecs biens qui seraient heureux de sortir avec toi. Et toi tu choisis le gars qui va te pourrir la vie parce c'est juste un gros con prétentieux et arrogant qui se fout de l'opinion public et des gens, qui prend un malin plaisir à tout foutre en l'air sans réfléchir aux conséquences...

Je pris une profonde inspiration. Je venais en gros de lui cracher mes plus sombres aspects à la figure. Il fallait que je la dégoutte. Pourquoi ? Parce qu'un être aussi abject que moi ne peut que ternir l'éclat d'une pierre précieuse comme elle. Un pierre que j'avoue, j'aimerai garder près de moi. Mais en restant près de moi, elle se fanerait, la corrosion de mon âme détruirait ses traits si délicats...

Fuis, Théodora Stonnen. Fuis aussi loin que te porteront tes jambes. Ne regarde pas en arrière. Pardonne-moi, oublie-moi... Détruis-moi....
J'étais incapble de bouger.

Invité

Il me brisait le coeur. Il n'avait pas le droit de me demander ça. C'était la pire des choses. J'étais folle, oui, mais folle de lui. De ses yeux bleus semblablent aux miens, de ses cheveux blond, si brillants au soleil, de son parfum si merveilleux flottant dans l'air. Ses yeux étaient devenus étrangement vide...Je sentais ce lien, ce lien qui nous liaient...C'était trop fort pour essayer de le rompre. Je m'emportais soudain:

Tu n'as point le droit de demander cela !! Math, c'est toi que je veux, pas les autres garçons du lycée !! Toi et juste toi. Hailey n'est pas moi. Nous sommes différentes...Tu n'as toujours pas compris? On a un liens, magique, qui nous tiens, et qui ne peux être rompus...

Je me raprochais de lui, carrésant sa joue, et l'embrassant une dernière fois. Je savais que je n'aurais bientôt plus l'occasion de l'embrasser. Des larmes coulaient toujours sur mes joues de poupées pâles. Je lui chuchotais:

Tu ne te débarrasseras pas de moi. Tu le sais...

Je partis alors en courrant comme il le voulait, le plus loin possible, mais en prennant bien soin de faire tomber mon bracelet en argent a ses pieds. Sur la gourmette était graver: " Théodora, petite fille de la Lune"

Invité

Sa main sur ma joue... C'était si doux... Ses lèvres sur les miennes... Si électrisantes... Une torture douce... éternelle... mordante. Tu le mérite Math Rover. Regarde ce que tu as fait. Déjà, la pierre précieuse ternit... Je la regardais partir en courant, jusqu'à ce qu'elle disparaisse. Jusqu'à ce qu'elle ne soit plus qu'un souvenir dans l'air d'octobre. Quand je fus seul. Infiniment et douloureusement seul, je me laissais tomber à genoux. Une larme roula sur ma joue. Puis une seconde. Oui, Math Rover, le salaud de première, pouvait pleurer. La dernière fois que j'avais pleuré, c'était à la mort de mon père. Une autre personne venait de m'être arrachée. Sauf que là j'étais le seul fautif.

Ça vaut mieu, Théo. Tu comprendras un jour.

Comprendre quoi ? Oh merde, je n'étais qu'un gros naze. Tu parles, ce lien entre nous, il n'apportera jamais rien de bon. Je ne peux rien apporter de bon, Théo. Parce que quelque chose en moi a été brisé.
Un éclat argenté attira mon regard. C'était une gourmette. Celle de Théodora. La petite fille de la Lune. Un sourire triste étira mes lèvres. L'argent avait encore la chaleur de sa peau. SI tu savais à quel point tu éclaires ma nuit, petite Lune...
Il n'empêche que j'étais malheureux comme une pierre.

Du soleil, un paquet de cigarette et un mec blond...[PV Math]

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