After a long class. [Pv Myu]

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Le cours de dessin. Un autre cours long et ennuyant dans lequel Abygaëlle avait été placé à cause de son handicap. Bien oui, elle aimait faire des dessins, mais faire des portraits de fruits et des trucs du genre ça c'était pas du tout dans sa branche. Mais maintenant, dans le cours on faisait des autoportraits et lorsqu'on avait terminé on tombait en dessin libre. Abygaëlle avait travaillé dur sur son autoportrait. Elle ne le trouvait pas très ressemblant, mais bon..Il fallait faire un portrait aux airs réalistes et un qui en avait moins l'air. Pour Abygaëlle ça donnait un résultat plus concluant dans celui moins réaliste.
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La jeune femme se retrouvait devant ses deux dessins et elle devait choisir lequel serait celui réaliste, lequel ne le serait pas... Le choix n'était pas facile. La jeune fille ne pouvait choisir. Elle leva la main et l'enseignant viendrait lui dire ce qu'il en pensait, mais ce ne fut pas lui qui s'approcha de la jeune femme. Ce fut plutôt celui qu'elle avait croisé dans les escaliers la veille. Elle ne s'était jamais rendu compte qu'il était aussi dans son cours de dessin. Il regardait au dessus de son épaule les créations de la jeune rouquine. Celle-ci avait choisit l'encre, n'étant pas très doué pour les couleurs. L'encre avait toujours été facile pour la belle Abygaëlle. Elle s'en servait même à la plume, car c'était ainsi qu'elle l'avait apprit... Il faut dire qu'elle n'était pas aussi jeune qu'elle le semblait... Elle n'était pas née dans les dix-huits dernières années...

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Lorsqu'Aby leva la main, Myusaï se leva spontanément. Il regarda les deux magnifique oeuvres de la jeune femme.
"T'arrive pas à te décider ?"
Il fixa encore pendant de longue secondes les créations d'Aby. Apparemment, lui aussi n'arrivait pas à se décider... Il alla chercher un miroir au fond de la classe et il revint près de la jeune femme et ses oeuvres. Il plaça le miroir à coter du chevalet de la jeune femme.
"Regarde toi et regarde tes dessins."
Il fixai les oeuvres puis Aby.
"Je ne connait toujours pas ton nom tu sait..."
Il détourna discrètement son regard vers Abygaëlle, attendant comme un signe.
-Le cour est terminé, vous avez jusqu'à se soir pour décider quel dessin vous allez me rendre. annonça le prof'

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Abygaëlle n'aima pas le fait que ce soit ce jeune homme qui apparaisse encore devant elle. Elle ne savait pas pourquoi, mais malgré qu'elle soit intriguée par ce dernier il avait un don pour l'énerver et lui taper un peu sur les nerfs. Lorsqu'il lui demanda si elle n'arrivait pas à se décider elle hocha la tête positivement. Elle trouvait les deux fort peu ressemblant. Elle allait sûrement finir par en retoucher un pour le rendre plus irréel.
Il amena le miroir et dit à Abygaëlle de se regarder, puis de regarder ses dessins. Alors, peu subtilement il lui demanda son prénom, mais quelques secondes plus tard, l'enseignante leur disaient que le cours était terminé qu'ils pouvaient partir. Abygaëlle savait que c'était le temps de travailler. Puisque c'était aujourd'hui la journée du club artistique. La jeune fille allait rester ici et travailler sur ses dessins si le jeune homme quittait au plus vite. S'il ne partait pas elle s'en irait dans sa chambre travailler sur ses dessins jusqu'à en être satisfaite si elle ne l'était pas et bien, elle continuerait. La jeune femme continua son travail, ignorant carrément le jeune homme. Abygaëlle portait ses grosses lunettes noires pour travailler sur sa toiles de dessins, mais maintenant qu'elle les regardaient elle se disait qu'elle allait refaire l'une des deux pour la rendre plus ou moins réaliste... Peut-être y ajouter de la couleur... Elle verrait lorsqu'elle serait rendue à ce stade. Alors Aby continua de travailler alors l'enseignante s'approcha, Myusaï était encore-là. La dame regarda les oeuvres d'Aby et dit:

"Et bien, c'est du bon travail Abygaëlle!"

Puis, elle regarda Myusaï et lui dit:

"Monsieur le président du comité d'artiste aurait-il décidé de rester ici? Si oui, je le prierait de fermer derrière lui."

Puis, elle lui sourit et déguerpit au plus vite qu'elle le pouvait.

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L'enseignant s'adressa à Myusaï en lui demandant si il comptai rester dans la salle de classe. Il répondit par l'affirmative.
*Alors comme ça, elle s'appelle Abygaëlle.*
Une fois les élèves sortit, Myusaï mit un peu de musique et sortit tout son matériel de dessin.
Il se mit à dessiner un portrait.
Les coups de crayons se firent aux rythme de la musique, musique très rythmée.
Il s'arrêta un moment, fit quelques pas de danses et se remit aux travail.
Une fois le dessin du portrait fait, il sortit pleins de tube de gouache, quelques pinceaux et un morceau de chiffon.
Il mit quelques couleurs sur une palette et sur une autre pour faire tout les mélanges nécessaire.

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De son côté Abygaëlle continuait elle aussi à l'ignorer. Le jeune homme avait cessé de lui parler dès que l'enseignante fût sortie. Elle ne sentit pas son regard sur elle et sentit qu'elle y pouvait travailler en paix. Lorsqu'il mit la musique qui avait un rythme qu'Abygaëlle fut légèrement dérangée, mais elle s'y habitua. La jeune femme le regardait dessiner, danser et peindre... Il était extravagant. Elle sortit la peinture ainsi que des crayons. Elle retravailla son deuxième dessins, qu'elle tenta de rendre plus réaliste. Elle garda même la couleur du t-shirt. La jeune femme regarda son œuvre, fière d'elle-même. La jeune femme travaillait dur pour que tout soit parfait. Ainsi, son travail achever, elle devait trouver un endroit où la faire sécher. Il s'avéra que le séchoir à œuvre était juste à côté de l'endroit où se trouvait l'extravagant président du club artistique. Ainsi, Abygaëlle ne puis s'empêcher de passer à côté de Muysaï, qui lui faisait peur un peu. Elle n'aimait pas se retrouver seule dans la même pièce qu'un homme. Pour elle, ils étaient tous des salaud et aucun d'eux ne méritaient le respect. La jeune femme regarda le jeune homme l'ombre d'un l'instant, mais rapidement elle retourna à sa tâche. Elle allait porter son dernier travail sur le séchoir espérant au passage que personne ne s'y attaque. Car si quelqu'un s'y attaquait, Abygaëlle était plus que morte.
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Myusaï enchainait les coups de pinceaux toujours aux rythme de la musique.
Aby passa près de lui pour mettre son oeuvres à séchée. Il remarqua de suite la touche de couleur sur le t-shirt. Il ne pu s'empêcher de sourire.
"C'est quand même mieu avec de la couleurs tu trouve pas ?" dit-il en souriant à Aby.
Bien entendus, il n'avais toujours pas quitter sa toile des yeux, il continuais de peindre mais, il avait abandonner le visage et il s'était lancer sur une fleur blanche avec un fond en nuance de rose, avec pour motif de fond, des fleurs.
Il finit son ouvres peu de temps après celle d'Aby. L'avantage avec Myusaï, ses qu'il travail vite et bien, il ne doit pratiquement jamais faire des retouches. Il décrocha sa toile de son chevalet et alla la mettre séchée à côter de celle d'Aby. Ensuite, il reprit une nouvelle feuille et la fixa a son chevalet, lui aussi devait rendre un portrait pour la fin de la journée... Malheureusement, il n'aimais pas se dessiner...

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Abygaëlle ne regardait pas où elle allait, encore une fois, et alors que Myusaï se levait pour aller poser son œuvre à sécher, Abygaëlle lui fonça dedans. Ainsi, l'œuvre de Myu se retrouva tatoué sur le t-shirt blanc d'Abygaëlle. La jeune fille tomba aussi sur le sol. La jeune rouquine n'avait pas aimé. Le jeune homme aussi avait trébucher sur elle et il se trouvait un peu trop prêt d'Abygaëlle à son goût...La jeune femme avait peur. Ils étaient seuls, la pièce était fermés et elle n'avait pas envisager que de terminer son portrait ici, seule, ici avec lui aurait pu encourir des risques. Abygaëlle maintenant, se retrouvait prise, incapable de bouger, sous ce jeune homme qui l'écrasait. La jeune rouquine venait de détourner le visage, car à son avis, les lèvres de l'autre étudiant était beaucoup trop prêt des siennes. Abygaëlle se sentait vraiment pas à l'aise et recula. Il ne fallait pas qu'il s'approche, pas tout de suite du moins. Elle avait peur et plus, quand elle avait peur, Abygaëlle contrôlait mal ses habiletés de femme des neiges. Elle n'avait pas envie de révéler ce qu'elle était et en plus, c'était interdit. S'il se mettait à neiger au dessus de leurs tête c'était certain qu'il comprendrait...

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Quel position délicate pour nos deux jeune étudiant.
Myusaï ne s'attendais pas se retrouver dans une telle posture. Il regardait Aby, que pouvait-il avoir envie de faire dans l'immédiat ? Rien bien sûr, il voyait bien qu'elle n'était pas réceptive à tout ce qu'il pouvait lui dire, Myusaï savait qu'Aby ne le portait pas dans son coeur, c'était bien trop flagrant pour qu'il ne s'en rende pas compte, et Myusaï n'était pas stupide... Quoique...
Il se redressa et ramassa sa feuille. Son oeuvre était fichue ... Il contempla ce qu'il en restait, rien... Toute l'encre, ou presque était sur le t-shirt de la jeune Cogan. Myusaï souffla légèrement...
"Bon ben j'ai cas recommencer ..."
Il ne prit même pas la peine de proposer de l'aide à Aby pour qu'elle se relève... Peut-être que en s'occupant un peu moins de ces affaires elle ferais plus attention à lui, qui sait.
Il prit son pinceau et le trempa dans du noir et du rouge et il lance son petit morceau de bois sur la feuille. La tache créer reflétais bien l'âme diabolique de Myusaï. Il regarda la tache en esquissant un léger sourire.

Invité

Abygaëlle se releva par elle-même. Un peu mal à l'aise d'avoir fichu totalement l'oeuvre du jeune homme. Elle voulu se reprendre. Elle avait eut le temps de la voir un peu. La peinture de Myusaï s'était pas mal copié sur le t-shirt blanc d'Aby on pouvait maintenant voir la peinture de Myu. Ce qui rendait le t-shirt de la jeune femme unique. Le t-shirt du jeune homme était aussi blanc. De toute façon, l'enseignante exigeait un t-shirt blanc qu'on pouvait salir dans le cadre de son cours. Abygaëlle regardait son t-shirt blanc qui était maintenant une oeuvre d'art. Elle regarda Myusaï et prit un papier. À l'encre elle écrivit:
"Ton oeuvre existe toujours... Elle est rendue sur mon t-shirt..."
Puis ensuite elle tendit le papier au jeune homme... Elle retourna ensuite à sa nouvelle toile. Elle voulait lui rendre la pareil. Il avait décoré son t-shirt il verrait ce qu'elle était capable de faire. La jeune femme débuta par un portrait de celui qui dansait tout en peinturant de nouveau. Ensuite, elle y ajouta de la couleur. On voyait aussi une genre d'ombre qui semblait quelques peu à un démon, mais Abygaëlle ne s'était pas rendue compte que dans son dessin il y avait cela. Mais de toute façon pour elle, tout les hommes étaient des démons.
Une fois l'oeuvre terminé, elle se dirigea vers Myusaï et elle étampa avec force l'oeuvre sur le t-shirt blanc de Myusaï. Ainsi, lui aussi portait une oeuvre. Ensuite elle prit son pinceau d'encre et signa: Abygaëlle Cogan Une fois son oeuvre signé elle retourna à sa place. Elle commençait à accepter la présence de Myusaï. Il avait agit correctement avec elle et ainsi elle acceptait de plus en plus ce dernier. Elle ne savait pas ce qu'il en était de son côté...

Invité

Myusaï lut le papier et souria, il ajouta également une petite parole du genre "ton t-shirt est unique maintenant" et c'était le cas, il était unique.
Myusaï n'en voulait pas à Abygaëlle, après tout, elle ne l'avais pas fait exprès... Si ?
Il allais se remettre au travail lorsque Aby vint vers lui et placarda sa feuille sur le t-shirt de Myusaï, elle signa sur le t-shirt du jeune homme et retourna vers son chevalet. Myusaï sourit.
"Le mien aussi est unique maintenant."
Il rangea le morceau de papier qu'Aby lui avait donner un peu plutôt. Il se mit à regarder sa chevalière en forme de tête de mort. Avait-il envie de faire du mal à Aby ? Etait-il forcer par son subconscient ?
Il enleva sa bague et la rangea dans sa poche. Il se dirigea vers Aby, il avait une envie soudaine de discuter avec elle. Néanmoins, il ne s'approcha pas trop près d'elle.
"J'ai l'impression que tu ne m'apprécie pas beaucoup, je me trompe ?" dit-il lentement.
"Soit franche."

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Abygaëlle était en train de ranger ses peintures dans des contenants séparant chaque couleur avec chaque ton. La jeune femme était très perfectionniste. Puis, elle se dirigea vers le lavabo et commença à nettoyer ses palettes. Une fois ce travail accomplie, elle rangea le tout dans son sac. Elle se retourna et alors, elle se rendit compte que Myusaï avait approché. Il n'était pas trop prêt pour qu'Abygaëlle se sente en danger, mais pas assez loin à son goût. Mais de toute façon, selon Abygaëlle un homme n'était jamais assez éloigné d'elle. La jeune femme regarda donc celui devant elle. Elle l'entendit parler. Elle aimait bien la voix de son interlocuteur, mais les phrases de ce dernier furent plutôt rude. Ne pas l'aimer? Et bien, disons que le simple fait qu'il soit un homme réglait la question. La jeune femme détourna le regard. Elle alla chercher un papier ainsi qu'un crayon. Elle écrivit doucement:
"Non, c'est... Compliqué."
Puis, elle tendit le papier à Myusaï tout en restant assez éloigné de lui pour se sentir en confiance... Du moins un peu en confiance. Elle se respectait. Si elle ne voulait pas s'approcher plus elle le faisait. Elle était assise maintenant à la même table que lui, mais à l'autre bout de la table. Pour le moment elle n'était pas prête à s'approcher plus. Il fallait du temps pour qu'elle prenne confiance en celui qui se trouvait devant elle.

Invité

Myusaï regarda la jeune rousse s'approcher et s'asseoir a la même table que lui. Heureusement pour elle, le papier abondait dans cette classe, ainsi que les crayons, très facile de communiquer pour elle. Elle inscrivit, sur un morceau de papier, les mots suivant: "Non, c'est... Compliqué." Myusaï enchaina directement.
"Explique moi, ont à le temps, une demi-journée pour être exact."
Il s'adossa contre sa chaise.
"A moins que sa ne soit trop dure à expliquer, dans se cas, je comprendrais que tu ne veuille rien me dire."
Myusaï était étrangement compréhensif, par simple tentative d'approche pour arriver à ses fin, ou bien pour autre chose... Mais quoi?
Myusaï réfléchit un instant, peut-être avait-elle eu de mauvaises expérience avec les hommes étant plus jeune, peut-être était-ce un choix de sa part, ou bien...
Bref, rien n'était clair dans sa tête et Myusaï n'aimait pas sa.
En attendant une réponse de la jeune femme, Myusaï se leva et commença à ranger tout son matériel.

Invité

La jeune femme l'écouta. Il était si...Étrange. Il agissait un peu comme s'il la comprenait. Comment se faisait-il? Avait-il vécu le même genre d'enfance qu'elle? Non, il était beaucoup trop confiant pour cela. La jeune femme ne comprenait pas. Voilà pourquoi elle écrivit sur le papier:
"Trop dur à expliquer... Pourquoi es-tu si compréhensif envers moi?"
La jeune femme n'avait pas réussit à s'empêcher de poser la question. À vrai dire, la jeune femme était plutôt curieuse, mais il lui prenait un temps pour adopter les gens. Voilà pourquoi sur le papier juste après elle écrivit:
"Ça me prend du temps à adopter les gens... Voilà pourquoi je suis si froide avec les gens autours de moi."
Elle n'avait pas envie de tout lui expliquer, mais elle voulait qu'il comprenne en partie pourquoi elle agissait froidement envers lui. La jeune femme avait besoin d'apprendre à connaître Myusaï. Elle était comme les animaux abandonnés. Souvent ceux-ci devenaient sauvages et il leur fallait du temps pour qu'ils se remettent à faire confiance aux gens. Abygaëlle avait été ainsi élevé... Du moins lorsqu'elle était sortit de l'orphelinat. Lorsqu'elle avait emménagée avec la grande dame blanche, elle avait apprise à devenir froide envers les gens et ne plus leur faire confiance aussi facilement... Et voilà, Aby était devenue ce qu'elle était maintenant.

Invité

Voilà je t'ai répondu, j'espère que t'es contente ma p'tite.
En tout cas, j'voulais te dire de me laisser respirer un peu plus hein ! Car à 4h20 les gens normaux DORMENT eux ... et moi, je suis normal alors moi aussi j'veux dormir !!!

Bisou bisou.

P.S: J't'ai encore eut AHAHAHA et quand t'arrivera à la fin du message, j'serais déjà plus sur MSN, j'serais en train de m'envoler au pays des rêveuh !!

Invité

"Trop dur à expliquer... Pourquoi es-tu si compréhensif envers moi?"
Myusaï sourit lorsqu'il lut cette phrase, à vrai dire, il ne savait pas si c'était pour faire ce qu'il voulait faire à la base ou bien parcequ'il voulait vraiment la comprendre...
Il fallait vite qu'il trouve quelque chose à dire.
"Heu..; Ben à vrai dire.... Heu, j'en sait rien."
Pour la première fois, Myu semblait mal à l'aise, c'était étrange à voir quand on sait que se drôle de personnage est un excentrique accomplis.
"Ca te prend du temps pour adopter les gens... T'as surement du subir de terribles choses étant plus jeune..."
Myusaï semblait troubler par la dernière phrase de la jeune étudiante.

Invité

Abygaëlle aimait entendre le son de la voix de Myusaï. La jeune fille l'enviait. Lui, au moins, il pouvait dire tout ce qui lui passait par la tête quand il le voulait. Abygaëlle n'avait jamais parlé, mais elle n'avait jamais essayé non plus. La jeune femme, peut-être, un jour essayerait-elle, mais pour le moment, elle suivait un vieux diction. Le silence est d'or, la parole est d'argent. C'était ainsi sa philosophie. Il répondit à sa question, mais pourtant, Abygaëlle ne savait pas pourquoi, mais elle avait l'impression qu'il n'était pas honnête avec elle. Elle avait
l'impression qu'il lui cachait quelques chose, mais qu'est ce qu'il lui cachait, ça c'était ce qu'Aby ne savait... Peu curieuse de savoir pourquoi il mentait ainsi, la jeune fille ne dit rien. Elle pouvait sentir son malaise. Pourquoi était-il en train de devenir maladroit dans ses gestes? C'était elle la maladroite d'habitude. La question de Myusaï, qui était sous-entendu dans ce qu'il disait, Abygaëlle n'avait pas envie d'y répondre. La jeune femme baissa simplement la tête pour cacher que elle aussi elle n'était pas à l'aise dans la situation. En fait, Abygaëlle avait encore un peu peur de ce qui pouvait arriver en étant encore seule ici. Elle prit donc un morceau de papier et écrivit:
"Je dois y aller...J'ai des devoirs à faire et un entrainement de gymnastique."
C'était un mensonge, car son entrainement de gym d'aujourd'hui n'était pas obligatoire, puisque c'était celui seul. Abygaëlle s'entrainait cinq fois par semaine alors qu'ils devaient s'entrainer que trois fois dans le club. Et elle mentait aussi sur ses devoirs. Abygaëlle faisait toujours ses devoirs le jour même et aujourd'hui elle avait eut des cours dans lesquels aucun devoirs n'avaient été donnés.

Invité

Myusaï lut le papier. Il était un peu déçu que la jeune Aby ait des obligations soudaine.
Mais il comprenait.
"Okey, ben je vais te laisser partir alors"
Il lui fit un petit sourire et retourna vers son chevalet. Il avait effectivement un croquis à rendre... mais, il n'avais pas de modèle.
Quesqu'il allais bien pouvoir dessiner ? Lui, non, il n'aimais pas se dessiner. Aby, peut-être bien...
Il se tourna vers sa nouvelle 'amie'
"Si tu veux, quand tu auras fini, ont pourra peut-être apprendre à se connaitre un peu plus. Enfin, si tu veux."
Il se remit au travail, lorsqu'il peignait, il semblai absent, rien ne semblai le perturber.

Invité

La jeune fille ne fut pas du tout étonnée par sa réaction. Myusaï depuis leurs première rencontre ne tentais jamais de la convaincre de rester avec lui. Non, il la laissait partir sans rien dire. Abygaëlle ne comprenait pas, mais bon, même si son excuse minable fonctionnait elle le regarda et écrivit de nouveau:
"Je n'ai pas d'entrainement de gymnastique obligatoire le Mardi...Et j'ai déjà fait la plupart de mes devoirs."
La jeune fille avait envie d'apprendre à le connaître. Le jeune monstre devant elle était intrigant. Abygaëlle avait toujours été curieuse et jamais au grand jamais la jeune fille n'avait pu résister à des pulsions de curiosité. Ainsi, la jeune fille s'approche un peu plus et regarda ce que Myusaï peignait. Il la peignait. Elle recula. Elle était pour lui donner le papier qui disait qu'elle mentait, mais en voyant ce qu'il peignait la jeune fille enfonça le papier dans sa poche et recula. Ensuite elle partit au plus vite. Elle ne voulait pas en savoir plus, elle ne comprenait plus...
Elle ramassa son sac et sortit sans même dire un seul mot. Elle était totalement troublée par ce qu'elle venait de voir...

H.J.: Probablement le post le plus nul de ma carrière.

Invité

{Post terminé}